La pratique de l'autorité a longtemps été synonyme d'une soumission des subordonnés à l'égard d'une hiérarchie plus ou moins présente. Dans le cadre de l'entreprise, cette autorité a longtemps été sans borne et c'est traduite par l'emploi de moyens coercitifs incluant parfois l'usage des châtiments corporels. Cette pratique basée en fait sur un abus d'autorité et un véritable chantage à l'emploi (le ou la punie acceptant la punition sans en avoir vraiment le choix) a maintenant disparu.
D'après les témoignages, jusque dans les années 50 et 60 de nombreux métiers étaient plus particulièrement soumis à ce type de punition. En premier lieu c'était tout les apprenti(e)s qui, du fait de leur jeune âge et de l'autorité des "anciens" étaient soumis à de telles punitions notamment dans les usines et la confection. On retrouve de telles pratiques dans le milieu des gens de maison où les "maîtres" n'hésitent pas à étendre leur autorité à leurs personnel (lire le petit récit de Séverine en fin de rubrique) mais aussi dans les bureaux. C'est certainement plus un fantasme qu'une réalité statistique mais nombre de secrétaires semblent avoir eu droit à la fessée, les illustrations présentées s'en font les échos
La fessée au bureau...
Les hotesses de l'air aussi...
Les ouvriers spécialisés ne sont pas à l'abri d'un contremaître exigeant...
Les paddles, les brosses servent aussi..
On fait parfois appel à du personnel spécialisé
Mais souvent la bonne volonté du personnel encadrant suffit..
Le personnel de maison est particulièrement surveillé
Le directeur doit parfois prendre les choses en main...
La culture du résultat s'enseigne..
La fessée patronale au début des années 70
Au début des années 70, j'étais "baby-sitter" durant les vacances scolaires dans une famille de la haute bourgeoise lyonnaise. Dans cet hôtel particuliers, il y avait une bonne douzaine de "gens de maison" allant du chauffeur en passant par le jardinier, la cuisinière, ses aides ainsi que les "bonnes". Ces dernières représentaient le prolétariat des gens de maison, le personnel le moins qualifié, généralement des jeunes filles placées dans une famille (et oui ce n'est pas si vieux…). Une de ces filles commis l'irréparable pour l'époque c'est-à-dire dérober de l'argent et quelques menus objets. Ce fut naturellement le renvoi immédiat et sans certificat. Mais elle ne s'en tira pas à si bon compte…
Alors qu'elle avait été consignée dans sa chambre en attendant l'arrivée de sa mère qui devait la reprendre on me demanda de descendre et de rejoindre l'office avec les deux jumelles âgées alors de 10 ans. tout le personnel était là ainsi que Madame. La gouvernante en charge de tout ce petit monde alla chercher la coupable qui n'en menait pas large (elle devait savoir ce qui l'attendait). Rapidement après un sermon , la gouvernante pris les choses en main et tout le monde compris vite qu'une fessée allait tomber… La jupe fut troussée et sur un geste de Madame on baissa aussi la culotte de cette jeune fille de 15/16 ans…la fessée fut plus spectaculaire que terrible, vous imaginez la scène et la honte de la punie
Cette punition avait naturellement pour but de corriger la coupable mais était aussi un message clair envoyé à tout le personnel. Et d'ailleurs pas seulement au personnel mais aussi aux deux jumelles, qui outre le côté "pédagogique" de cette punition comprirent que même si une "grande" pouvait être punie ainsi, elles n'échapperaient pas à la menace de la fessée avant quelques années !.
Alors qu'elle avait été consignée dans sa chambre en attendant l'arrivée de sa mère qui devait la reprendre on me demanda de descendre et de rejoindre l'office avec les deux jumelles âgées alors de 10 ans. tout le personnel était là ainsi que Madame. La gouvernante en charge de tout ce petit monde alla chercher la coupable qui n'en menait pas large (elle devait savoir ce qui l'attendait). Rapidement après un sermon , la gouvernante pris les choses en main et tout le monde compris vite qu'une fessée allait tomber… La jupe fut troussée et sur un geste de Madame on baissa aussi la culotte de cette jeune fille de 15/16 ans…la fessée fut plus spectaculaire que terrible, vous imaginez la scène et la honte de la punie
Cette punition avait naturellement pour but de corriger la coupable mais était aussi un message clair envoyé à tout le personnel. Et d'ailleurs pas seulement au personnel mais aussi aux deux jumelles, qui outre le côté "pédagogique" de cette punition comprirent que même si une "grande" pouvait être punie ainsi, elles n'échapperaient pas à la menace de la fessée avant quelques années !.
Séverine
Cette photo est magnifique,pour ma pat je pense qu'une pénitente qui va recevoir une bonne féssée doit obligatoirement porter des chaussons à talons plats (mules ou ballerines)pour avoir les fesses bien décontractées et se sentir humilier au coin pieds joints aprés la féssée
RépondreSupprimerles bas nylons sans chaussons sont super bravo et merci