A ce titre il nous semble légitime de consacrer une rubrique sur la fessée scolaire dans notre blog.Les incivilités étaient rapidement prises en compte par la Directrice
Dans la plupart des cas cependant, et notamment pur les punitions des plus grand(e)s, la punition n'avait pas lieu dans la classe et n'était pas administré par un professeur mais chez les détenteurs de l'autorité scolaire, le directeur, la directrice ou les surveillants. Il est à noter que pour préserver la bienséance, les punitions étaient quasiment toujours administrées par une personne du même sexe que le ou la punie…mais cela n'empêchait nullement la présence de témoins…
La punition commençait dès que la sentence était tombée et ceci même si la punition était différée de quelques heures voire quelques jours. L'attente, l'anticipation de la fessée faisait déjà partie intégrante de la punition !
Puis vient le moment de la fessée qui commence toujours par une nouvelle attente devant ou dans le bureau de la personne chargée de la punition. Le préparation de la punition (en général un déculottage plus ou moins complet) est considéré souvent comme un des moments les plus pénible pour l'amour propre des condamnés
Les dernières minutes d'attente étaient souvent très longues...
1- La fessée manuelle était employée pour les fautes les plus légères et pour les plus jeunes. Parfois appliquée devant toute la classe, on hésitait alors à déculotter les élèves.
Les shorts étaient parfois considéré comme trop couvrants...
Mais dans la majorité des cas et dans le cadre plus "privé" du bureau de la Directrice ou de la Surveillant Générale, on hésitait pas à donner la fessée sur les fesses nues..
Appliquée dans les écoles japonaises..
Tout comme dans les écoles américaines
Elle était pour les plus âgés plus humiliante que douloureuse..
La Directrice s'occupait personnellement de la discipline...
Le Directeur ne laissait non plus rien passé..
2- Le paddle (raquette de bois) est un instrument punitif redoutable encore coramment employé dans un certain nombe d'états des USA (en rouge sur la certe)
Généralement appliquée dans les collèges et les lycées, la punition consiste en quelques coups de paddle administrés à toute volée sur les fesses. Du fait de l'efficacité redutable de cet instrument, la punition est généralement administrée sur le fond du pantalon, le pantalon (meme en jean), la jupe ou les sous vetements ne constituant qu'une protection illusoire (voir vidéo).
Administré avec retenue, la punie peut être déculottée...
Paddling au lycée...une redoutable efficacité
3- La strappe (ou lanière de cuir). elle a été beaucoup utilisée notamment pour la punition des filles. Reputée moin agressive que le paddle,elle est cependant redoutable quand elle est maniée avec dextérité. Généralement on administre la strappe sur les fesses nues ou avec la protection plus symbolique qu"fficace d'une petite culotte.
Maniée avec dextérité c'est une punition dont on se souvient !
Maniée par une professeure de gymnastique, la punition devient redoutable !
4 - La canne . C'est l'instrument emblématique de "l'éducation anglaise". Constituée d'une tige flexible en bamboo, c'est un instrument des plus redoutables qui peut entraîner des lésions importantes si elle est maniée par un néophyte. Aplliquée aussi dans la paume de la main c'est sur les fesses et le haut des cuisses qu'elle est généralement administrée par série de 6 ("Six of the best"). Certainement moins employée que ne le voudrait la tradition (au profit de la strappe moins dangereuse), elle constitue la punition scolaire la plus sévère.
Admistrée essentiellement aux garçons, de nombreuses filles ont aussi connu les efffets des coups de canne sur les feses nues.
Cette vidéo montre un "caning" scolaire administrée par la Surveillante Générale en présence de la Directrice et d'une professeure.
Ensuite il ne reste plus qu'à reprendre ses esprits....
Celles et ceux qui ont connu la fessée scolaire s'en souviennent encore.....
Pour ma part, je peux témoigner que la fessée était encore appliquée dans les années 55-60 dans les écoles primaire, au moins celle que j'ai fréquentée, dans l'Est de la France. C'était une école de garçons, je ne sais pas comment cela se passait à l'école des filles. Les maîtres menaçaient assez souvent de donner la fessée et, sans doute pour que la menace soit prise au sérieux, en administraient une de temps en temps. En général, la fessée était donnée par dessus le pantalon, le déculottage étant réservé aux cas les plus rebelles. C'était en quelque sorte la peine capitale. Nous en étions assez souvent menacés :
RépondreSupprimer– Tu veux que je te déculotte ?
était une phrase familière. Comme je l'ai dit, pour que cela soit pris au sérieux, le maître déculottait effectivement un élève plus dissipé que les autres. Cependant cela ne se produisait certainement pas plus d'une fois par an afin de ne pas être trop banalisé. L'exécution avait lieu sur l'estrade, devant toute la classe, le maître debout tenant le condamné sous son bras gauche et fessant de la main droite après avoir baissé les culottes. Il est arrivé aussi que le garçon fessé doive traverser l'allée centrale culottes aux chevilles pour aller se reculotter dans le couloir. Pour ma part, j'ai été fessé par dessus le pantalon, dans la cour, après le coup de sifflet de rassemblement. J'avais chahuté dans les rangs. Le maître m'a appelé et, après avoir coincé ma nuque entre ses cuisses, a troussé ma blouse pour me donner la fessée devant toute l'école.
Par contre, je suis allé en colonie de vacance en 1960 en Alsace, à Lembach. Nous étions 5 dortoirs d'une quinzaine d'enfants, j'étais avec ceux de 12 ans. Les plus grands avaient 13-14 ans. L'un des moniteurs avait pour méthode de donner la fessée et les autres l'ont pris pour modèle. Ces fessées étaient données en public et le puni était toujours déculotté. J'ai été fessé moi-même au dortoir, pour avoir fait du bruit après l'extinction des feux. Après avoir rallumé la lumière, le moniteur chargé de mon dortoir enquêta brièvement et je fus dénoncé par mon voisin de lit. Après avoir tiré drap et couverture, le moniteur m'a fait mettre à plat ventre, m'a déculotté et m'a appliqué une bonne fessée. Après que je fus rhabillé, recouché et que la lumière fut à nouveau éteinte, je pus réfléchir pendant de longues minutes à la nécessité de respecter le sommeil d'autrui pendant que mon postérieur rafraîchissait.
javais 12 ans en 1958 je suis partie en colonie de vacances s etait exeptionel ma mere attendait son troisieme enfant j etais un gamin deluré a cette age je savais tres bien nagé nous allames nous baigner au bord de la la loire des le troisieme jours je sortis du plan deau les monitrices me dire de revenir pour faire le fanfaron je les narguer les filles eurent tres peur au bout d un certaintemps je regnagner le bord et d un moniteur pris une badine pour me fesser l une des filles lui dit pas de badine tu vas marquer les fesses du gamin tu ne perd rien pour avoir ta fessée on te la donneras devant toute la colonie en chemin je m expliquais la monitrice me dit on est responsable de ta securité je vais t expliquer si tu t est noyé je veux que tu comprennes pour quoi tu vas etre fessée les trois monitrice me dire tu vas avoir une fessée par nous trois quand j arrivais a la colonie le directeur fut prevenu j aurais honte d etre deculotté devant toute la colo tes monitrice vont te fesser chaqune leur tour je recu la fessée de mavie un moniteur mamena a francoise je fus deculotté et mis completement nue je fus allongé sur francoise qui me fessa c etait afreux elle me fessa malgres mes cris j arreterais quand ma main me fera mal j avais les fesses rouge la deuxieme mo,nitrice me fessa sur les cuisses j entendis les fille impretionné par ma fessée demandé qu elle s arrete la troisieme monitrice me refessa cher chant les endroit non rouge puis on vie que je ne resentais rien j etais evanouie sur la troisieme monitrice elle me garda comme un bebé puis me reposa par terre je frottais mes fesses avec les main a 12 ans les fille me dire qu elle avais vu mon zizi une des filles me rabillas on me remis mon slipe on ne me remis pas mon short on me transportas au dortoir l infiermiere me mouilla les fesses mon derriere etait enflée j avais des fesses rouge comme une tomate a part mes fesses en feu je nu aucune marque on devait me renvoyer mes parents devait me rechercher mon pere apris ce que j avais fait c est un enfant il n est pas rendu compte ce quil fesait nous le gardons si il ne refait pas de betises mes fesseuses me choutere c est a celle qui m achetas des bonbons tous les jours elle m embrassait voyant qesetait ma faute je n etais pas un mauvais gamin je fis des excuse a tout le monde depuis plusiere année je me revois dans mon petit short marine avec u elastique leger et ma petite culotte blanche cette histoire est veritable marie je voyais les garcons des colonie avec leur tenue legere cette fessée je m en rappel toute ma vie et je revois mes belles monitrice me la donné mais j ai jamais eu le phantasme d en recevoir une autre je n ais pas eté traumatise quar les fessée je les ai merité je pense a ces douce jeune fille monitrice ayant eu peur pour moi a 12 ans on ne reflechie pas
RépondreSupprimerje suis si on ne peux pas faire autrement pour la fessée certains enfant n en recoivent jamais je suis contre les claqes tres dangereuse dans mon enfance je n ai jamais eu de claques il est vrais que les shorts les culottes courtes les jupettes des filles une bonne claque sur les cuisse evité de donné une gifles contre la cane anglaise le padle qui peux provoquer des blessures grave tous instruments qui laissent des marques une fessée a la main n est pas dangereuse une fessée avec un martinet s etait l instrument preferé des francais absolument non dangereux un adolescent avec une fessée a la main sur des fesses nues n a jamais blessé un enfant avec un martinet non par contre une badine est dangereuse et une reglé aussi dans les ecoles dans les pensionnats seule une fessée a la main et au martinet etait autorisé un e"ducateur qui donné une gifle s etait dangereux est interdit les directeur et directrice de pensionnat le savait bien a mon epoques maintenant il faut faire campagne pour dire que les gifles sont dangereuse dans les hopiteaux aux urgences nombreux accident a cause des gifles les parents provoque des axcidents graves les hopiteaux en cas d incident graves transmetent aux procureurs
RépondreSupprimerUn garçon rebelle, un élégant collège privé mixte mais sévère, des fessées de discipline parfois publiques.
RépondreSupprimerhttp://www.edition999.info/_Williams-K_.html
http://rhedwaal.blog4ever.com/
http://www.pearltrees.com/williamsk
Si liens non « cliquables » : entrer les liens dans la barre du navigateur ou entrer les mots : Rhedwaal blog4ever dans Google)
(...)
Deeners marque un nouveau temps, comme s’il entendait laisser aux esprits la possibilité de méditer l’avertissement et de l’apprécier sa juste valeur.
– Pour revenir à l’aspect pratique des choses – qui doit je pense intéresser au premier titre les plus jeunes d’entre vous puisque l’entrée à l’université représente encore pour eux une échéance relativement lointaine – sachez qu’une correction pour indiscipline ou mauvais travail comportera de un à six coups appliqués par cet instrument, avec ou sans la protection d’un vêtement, ceci à l’entière appréciation du correcteur. En matière disciplinaire uniquement, ce maximum pourra être porté à neuf coups, voire à douze appliqués en une ou plusieurs fois selon l’âge du fautif, dans les cas que je jugerai suffisamment graves pour justifier une telle mesure. Elle constituera naturellement une ultime semonce avant l’exclusion définitive de cet établissement. J’ajoute que les corrections méritées en classe, quel qu’en puisse être la raison, seront administrées immédiatement aux coupables par leurs enseignants sans que ceux-ci aient à m’en référer, parallèlement au cadre général de discipline et donc sans aucune possibilité d’appel auprès du conseil des professeurs. Les sanctions requises hors des temps de classe seront quant à elles appliquées par les Préfets de discipline sous le contrôle des maîtres d’internat, étant observé que je me chargerai en personne de corriger les fautifs dans les cas plus graves. Gardez bien à l’esprit cette éventualité, jeunes gens, si d’aventure vous éprouviez une quelconque attirance – que j’espère passagère – pour l’inconduite ou la paresse. Nul d’entre vous ne sera à l’abri de cette justice, certes bienveillante mais toujours prompte à intervenir en cas de nécessité... Outre mes fonctions, j’assumais encore personnellement la charge d’une classe de ce collège voici quelques années et je me suis trouvé parfois confronté, comme nombre de mes collègues, au regrettable comportement de certains jeunes esprits rebelles. Ils se jugeaient hors d’atteinte d’une telle sanction mais ils n’en ont pas moins été punis comme ils le méritaient, et je crois ma foi que certains d’entre eux se rappellent encore assez bien certaines salutaires corrections…
À cet instant se produit un flottement dans les rangées de filles ; un autre murmure assourdi s’y propage. Le directeur paraît cette fois légèrement agacé. Il secoue la tête et frappe deux fois dans ses mains – avec une sèche impatience – pour ramener le silence absolu.
– Je précise, s’il en était besoin, que seuls nos garçons sont susceptibles d’être corrigés en classe, ou s’il le faut ici même, dans ce gymnase et sur cette scène, devant tous leurs camarades assemblés chaque fin de semaine, lorsque malheureusement de tels exemples se révéleront nécessaires pour assurer discipline, travail et bonne tenue. Celles de nos jeunes filles qui viendraient à mériter un châtiment corporel par leur inconduite ou leur travail insuffisant ne le recevront naturellement pas en public. Elles seront sanctionnées par le professeur concerné dans son bureau après les classes s’il est de sexe féminin, ou dans le cas contraire par Madame Anna Swerts, laquelle me fait l’honneur de me seconder dans ma tâche. Si l’intervention de Madame Swerts est requise, cette punition leur sera appliquée dans son propre bureau, hors la présence de tout personnel masculin mais dans les mêmes conditions que pour les garçons, avec le même instrument. Et, je le précise pour toutes celles qui en douteraient, avec une rigueur et une fermeté identiques – donc éventuellement sans la protection d’un vêtement si une sévérité particulière s’impose compte tenu du manquement à punir…
(...)
J'ai connu aussi durant les années 60 la fessée à l'école primaire.
RépondreSupprimerJ'étais en classe de CM2 et nous étions partis en classe de neige.Ce jour là,je m'en souviens encore;nous étions à table dans la grande salle à manger du chalet.Nous faisions beaucoup de bruit et la maitresse réclama le silence complet.
Seulement moi,agé de 10 ans et désobéissant,je ne pus m'empecher de parler à mon voisin et meme de le faire rire.
La maitresse m'aperçut et dit:"Jean-Philippe ,viens me voir immédiatement,il me semble avoir demandé le silence!"
Je me levai de ma chaise et me dirigeai vers la maitresse assise à sa table avec l'infirmière et notre prof de sport
Arrivé à sa hauteur,elle me demanda de baisser mon pantalon et mon slip
Je ne bougeai pas et commençai à pleurer.Je n'eus pas le temps de dire ouf que la maitrsse me déculotta en 30 secondes puis me coucha sur ses genoux et me fessa fortement et suffisamment longtemps pour que je parte en sanglots devant tout le monde.Mon derrière me brulait et la fessée terminée je frottai mon derrière devenu écarlate
La maitresse me reculotta et me mit au coin jusqu'à la fin du repas
A cette époque,la fessée était de rigueur et l'on ne protestait pas.Il est regrettable que l'on ne donne plus de fessées dans les écoles aujourd'hui,car je pense que certains enfants les mériteraient
moi aussi j'ai reçu une fessée a l'age de 12 ans c'était en 1972 c'était l'époque des classe mixe
SupprimerRémi
SupprimerJ'ai également été soumis à ce régime durant mon enfance; en effet j'ai reçu cinq fessées déculottées la première en dernière année de maternelle et les suivantes à l'école primaire(une en 11è à l’école des garçons, une en 9è classe devenue mixte et les deux dernières en 7ème classe mixte également).
Elles me furent toutes administrées sur mes fesses nues entre l'âge de cinq an et ma dixième année.
A cette époque (fin 60 début 70) des maîtresses appliquaient encore des méthodes héritées du passé.
Il est à noter que pour la dernière cela c'est déroulé également en 1972 lors d'une sortie scolaire de fin d'année et donc en extérieur !.
Cordialement Rémi.
qui veux ma spanking
RépondreSupprimerUne fessée qui m'a marqué
RépondreSupprimerJ'avais 15 ans et j'étais en classe de Seconde
Ma mère avait l'habitude de venir me chercher en fin de semaine le samedi midi pour partir en week end à la campagne
Ce jour là j'étais devant le lycée en train de discuter avec mes copains et copines lorsque ma mère arriva en voiture et klaxonna pour que je vienne la rejoindre
Mais ce jour là je voulais rester avec mes camarades et surtout ma copine Emeline avec qui je commençais à flirter
Ma mère s'impatientait et klaxonna à nouveau
Emeline me dit :" Jeanphi tu devrais y aller ta mère s'impatiente "
"Elle me saoule j'ai pas l'intention de partir ce week end je préfère rester avec toi '
Soudain je regarde vers la voiture de ma mère et lui fait un doigt d'honneur sans réfléchir aux conséquences
Ma mère sort de sa voiture et court vers moi
Alors je prends mes jambes à mon cou et cours le plus vite possible pour éviter ma mère
Seulement maman , prof de gym dans un lycée de filles court plus vite que moi et ne tarde pas à me rattraper
Elle me saisit par le bras et me ramène vers mes camarades et là c'est la panique
Ma mère s'assied sur un banc puis commence à me déculotter
Je me débats comme je peux mais ma mère baisse mon pantalon et mon slip devant mes copains et ma petite amie
Je pleure et supplie ma mère de me laisser mais c'est sans succès
Maman me couche sur ses genoux et me claque le derrière de façon magistrale
Je crie je pleure mais les dernières claques sur mes fesses me font partir dans de gros sanglots
Je n'ai jamais reçu une telle fessée de ma vie
Je suis vexé et ma mère me relève et me fait la morale devant mes copains et Emeline
Je suis toujours cul nu incapable de bouger
Ma mère me reculotte et m'amène vers la voiture
Je me souviendrai toute ma vie de cette fessée . Meme à 15 ans on peut recevoir la fessée déculottée mais de nos jours peu de parents l'appliquent pour leurs ados
Cette année là, j'avais 14ans et j'étais en classe de 3ème et le BEPC ( brevet des collèges aujourd'hui) approchait à grands pas
RépondreSupprimerLe jour J arriva, je me présentai aux épreuves du matin et je séchai celles de l'après midi, préférant aller me promener au jardin du Luxembourg puisque le temps était magnifique
Je fis de meme le lendemain
Ma mère, enseignante dans un collège de jeunes filles , ne manqua pas de me demander comment ça s'était passé
Je lui répondis que ça allait que j'avais trouvé les épreuves faciles
Deux jours plus tard, maman reçut un appel téléphonique du proviseur l'informant que je ne m'étais pas rendu aux épreuves de l'après midi
Maman me demanda ce que j'avais fait ces deux après midis
Je répondis : " Le proviseur se trompe surement d'élève , j'étais bien en classe pour l'examen "
Ma mère me laissa le bénéfice du doute et attendit les résultats du BEPC
10 jours plus tard les résultats furent affichés au lycée
Maman m'accompagna bien évidemment
Arrivés devant le lycée j'aperçus mes camarades sauter de joie car ils étaient admis
Ma mère et moi nous nous approchâmes du tableau d'affichage et en face de mon nom était mentionné : Ajourné pour absentéisme
Je me mis à rougir jusqu'aux oreilles et vis ma mère changer de visage puis elle me prit par la main et m'amena vers le banc le plus proche s'assit et commence à déboutonner mon pantalon. Je panique et dis :"Non maman , tu vas pas faire ça , je t'en supplie !"
Maman ne m'écouta pas , trop en colère , elle baissa rapidement mon pantalon puis saisit mon slip de coton blanc qu'elle baissa aussi prestement
je me mis à pleurer devant mes camarades , leurs parents les frères et sœurs et quelques professeurs venus féliciter leurs élèves
Je sentais tous les regards fixés sur moi ; j'étais cul nu sans pouvoir me défendre. Comment me débattre face à maman , prof de gym agée de 35 ans ?
Maman me bascula sur ses genoux et commença à claquer mon derrière. Je poussai de petits cris mais la fessée s'intensifia et je me mis à hurler et , le souffle coupé, j'éclatai en sanglots , je me tortillais dans tous les sens pour échapper à la fessée mais maman me tenait ferme
je ne sais pas combien de claques tombèrent sur mes petites fesses mais je ne sentais plus mon derrière après cette magistrale correction
Maman mev releva et me reculotta et nous rentrames à la maison ou je reçus une seconde fessée cul nu devant ma sœur de 11 ans
Je repassai le BEPC en septembre et fus reçu avec mention BIEN
A cette époque , la fessée était d'actualité pas comme aujourd'hui
Meme à 16 ans , ma petite belle fille reçoit la fessée.
RépondreSupprimerJe vis avec ma compagne depuis 6 ans maintenant . Elle est la maman de 2 enfants agés de 16 et 11 ans. Sa fille ainée ,Ambre est une jeune fille très attachante , sérieuse dans ses études mais en pleine révolte envers sa maman depuis pas mal de temps. Ma compagne agée de 43 ans élève ses enfants sévèrement et il lui arrive de temps en temps de les punir d'une fessée.
Je suis en parfait accord avec ma compagne sur ce mode de punition , ayant été éduqué sévèrement lorsque j'étais enfant puis ado .
Donc , ma peyite belle fille avec qui je m'entends à merveille se rebelle sans cesse vis à vis de sa maman
Pas plus tard qu'hier, elle rentre du lycée , fatiguée de sa journée de cours; Ambre est en classe de 1ère et doit passer les épreuves de Français du nouveau bac en juin prochain . Je l'aide de mon mieux pour ses dissertations . Elle est très reconnaissante envers moi mais se moque souvent de sa maman car elle n'a pas suivi de longues études et souvent elle lui fait remarquer que heureusement je suis là pour l'aider.
Bref, hier au soir , Ambre s'est montré carrément odieuse envers sa maman et j'en ai eu la preuve, étant présent
Sa maman lui a demandé comment s'est passée sa journée
"Comme d'hab' lui répond Ambre"
" Tu as eu quoi comme notes ?"
"Qu'est ce que ça peut te faire, tu fais rien pour m'aider , heureusement que JEAN PHI est là , lui !"Ambre, tu me parles sur un autre ton , je ne suis pas ta copine !"
" Heureusement, je m'en voudrais si j'avais une copine comme toi !"
Je vois le visage de ma compagne se décomposer. Je suis sidéré par la réponse cinglante de sa fille.
Soudain , sa maman fond sur elle sans dire un mot, la prend par la main et l'amène vers le canapé, s'assied et commence à déboutonner le jean de sa fille. Je suis en face d'elles et assiste , médusé à la scène inédite
"Qu'est ce que tu fais maman, tu vas pas faire ça, pas devant Jean Phi ?"
Ma compagne baisse le pantalon d'Ambre et saisit sa petite culotte blanche
Ambre essaie de l'empécher en mettant ses mains mais une claque sur les mains l'en dissuade immédiatement
La petite culotte rejoint le pantalon et Ambre est fesses nues devant sa mère et moi. Elle se met à pleurer espérant attendrir sa maman , la supplie d'arreter mais rien n'y fait
Ma compagne est très déterminée et avec la plus grande dextérité , elle prend sa fille sur ses genoux et commence à claquer son derrière.
Ambre, sous l'emprise de sa maman , ne bouge plus et subit la fessée telle une gamine de 5 ans
Elle se met à crier car les claques sont particulièrement virulentes et sa maman intensifie la fessée à tel point qu'Ambre éclate soudain dans d'énormes sanglots et en perd la respiration
La fessée n'en finit plus . Je n'ai jamais vu ma compagne dans une telle rage
Elle relève sa fille enfin qui pleure à gros sanglots , la reculotte et lui fait la morale devant moi
" Ambre, sache que je ne serai jamais ta copine et que je suis ta maman , uniquement ta maman et ce que tu m'a dit tout à l'heure m'a beaucoup peiné
Je t'aime et tu le sais et tu n'as pas le droit de me dire des choses aussi odieuses, as tu bien compris ma fille ?"
'Oui Maman !"
"Excuses toi s'il te plait !"
"Excuse moi maman , je te parlerai plus comme ça"
Ambre répondit à sa mère en sanglotant puis l'embrassa et se mit sur les genoux de sa maman
J'assistai à ce moment dr tendresse et j'eus les larmes aux yeux.
Cette fessée marquera à jamais Ambre et je suis sur qu'elle ne reparlera plus de cette manière à sa maman.
La fessée , je le pense sincèrement est une bonne thérapie et les parents aujourd'hui devraient en etre persuader et l'administrer à leurs enfants désobéissants ou impertinents
Une fessée très humiliante,
RépondreSupprimerC'était l'été 1969 , j'avais 16 ans . Je passais mes vacances avec mes parents dans la maison de mes grands parents en Normandie.
J'avais une amie d'enfance , Anne , dont les parents avaient une résidence de villégiature juste en face . Nous nous connaissions depuis 8 ans . Ce jour là, Anne agée de 15 ans vint passer la journée chez nous. Comme il faisait très chaud , nous installâmes la table de Ping Pong à l'ombre dans le jardin. Nous jouions depuis deux heures environ lorsque ma mère vint nous déranger pour que je mette le couvert dans la maison car il était midi passé.
Je répondis sèchement à Maman :" Attends , on finit la partie , je viendrai plus tard "
Ma mère, habituée à ce que je lui obéisse me répondit : "Ne m'oblige pas à venir te chercher, car ce sera avec une fessée !"
Je fus stupéfait qu'elle me menace d'une fessée à mon age ( 16 ans ) et de plus devant Anne , ma meilleure amie.
Je fus vexé et répondis de façon impertinente :" Je voudrai bien voir ça et d'abord il faudrait que tu m'attrapes !"
Soudain , je vois ma mère fondre sur moi . Je lache ma raquette et cours le plus vite possible vers le fond du jardin. Mais ma mère, jeune et sportive étant prof de gym me rattrape en quelques secondes et me saisit par le bras et me ramène devant mon amie et là , je me dis que Maman va me gifler simplement. Pas du tout!
Elle baisse mon short à mes chevilles.
" M'man, je t'en supplie , arrète !!"
Mais ma mère ne m'écoute pas et saisit maintenant mon slip blanc " Petit Bateau' qu'elle baisse avec dextérité à mes pieds . Je suis cul nu devant ma copine, tétanisé . Je commence à pleurer mais ma mère s'en moque éperdument et me penche puis me coince entre ses jambes et commence à claquer mon derrière. Je me mets à crier très vite et pleurer de plus en plus comme un petit garçon.
Les claques sont de plus en plus virulentes ,mes fesses me brulent et soudain les dernières claques me font perdre ma respiration et j'éclate en sanglots.
Maman me relève et me fait la morale devant Anne:"
Te rends tu compte de ton insolence et ta désobéissance ? Tant que tu seras sous mon toit, je n'accepterai pas tes caprices et sache que je ne suis pas ta copine mais ta maman et tu me dois le respect ! As tu bien compris ?"
"Oui M'man !" Je répondis tout en pleurant toutes les larmes de mon corps et frottant mon derrière qui me brulait. Je ne pensais meme plus qu'Anne me regardait . J'étais cul nu devant elle , quelle devaient etre ses pensées ? Avait elle pitié de moi ou bien se réjouissait elle de m'avoir vu recevoir une fessée bien méritée?
Il faut dire que durant notre enfance, nous avons reçu tous 2 de bonnes fessées par nos mamans et que moi aussi j'ai vu plusieurs fois mon amie les fesses nues sur les genoux de sa mère.
Cette dernière fessée maternelle reçue à 16 ans me vexa profondément et je m'achetai dorénavant une bonne conduite car je savais ma mère capable de me fesser jusqu'à mes 20 ans .
Une fessée inattendue à la sortie du collège
RépondreSupprimerLe fils de ma compagne , GAEL , agé de 12 ans entre dans l'adolescence et comme sa sœur ainée , il commence à se rebeller et répondre insolemment à sa maman.
C'est ce qui est arrivé dernièrement lorsque nous sommes allés le chercher à la sortie du collège pour l'emmener dans une grande galerie commerciale pour choisir son cadeau d'anniversaire car il vient d'avoir 12 ans.
Gael sort à 17h de ses cours et nous aperçoit devant la sortie.
Ma compagne me dit :" Oh ! GAEL a la tete des mauvais jours :"
Je lui réponds :" Moi je crois plutôt qu'il n'est pas très content que l'on vienne le chercher au collège à son age "
"Tu dois avoir raison "
Cela se confirme lorsque GAEL arrive à notre hauteur et nous dit sèchement:" Qu'est ce que vous faites là , je suis assez grand pour rentrer à la maison tout seul , je n'ai pas besoin que l'on me tienne la main à 12 ans !"
Sa maman lui dit :" Dis donc, tu pourrais déjà nous dire bonsoir et parler sur un autre ton , car à 12 ans , tu n'es plus un petit garçon et tu dois avant tout nous respecter "
GAEL s'énerve et répond :"Tu me saoule avec ta morale à 2 balles , je me casse !"
Les paroles vulgaires et le ton péremptoire de GAEL fait l'effet d'une bombe dans la tete de sa maman. Elle attrape son fils par le bras et lui dit : " Mon garçon , tu viens de franchir la ligne rouge, je ne peux accepter un tel comportement de ta part surtout en public, tant pis pour toi, nous avions une surprise à t'annoncer , mais cette bonne nouvelle oublie là !"
Je vois ma compagne commencer à déculotter GAEL avec une telle détermination que son fils est tétanisé. Le pantalon est descendu à ses chevilles rapidement puis sa mère saisit son slip blanc 'PETIT BATEAU " qu'elle descend aussi prestement.
GAEL est cul nu devant tout le monde et ne proteste pas car il sait qu'il a tous les torts et une quelconque résistance n'y changerait rien.
Sa maman le penche et le coince entre ses jambes et commence à lui claquer le derrière. J'entends les collégiens dire :" Eh ! Gael se prend une trempe par sa mère cul nu! c'est pas croyable!"
J'aperçois des filles qui rigolent.
il y a meme un garçon qui dit :" Je croyais que la fessée était interdite "
Ma compagne a toujours fessé ses enfants et ce n'est pas aujourd'hui qu'elle va changer de méthode .
La fessée a donc bien démarré et Gael commence à crier car les claques tombent sur ses fesses à bonne allure. Sa maman compte bien marquer le coup après les propos insolents de son fils
La fessée s'intensifie, les claques devenant plus virulentes , Gael se met à éclater en sanglots.
Sa mère le relève. Son visage est décomposé, les larmes coulent abondamment sur ses joues , il se frotte les fesses qui sont rouges écarlates.
Sa maman le reculotte car il n'en a visiblement pas la force et nous rentrons à la maison .
La surprise à la grande galerie commerciale , ce sera pour une prochaine fois.
il faut fesser les jf tjrs fesses nues et de préférence à la tawse
RépondreSupprimer