jeudi 8 octobre 2009

47- Les récits des lecteurs. L'épreuve de Catherine



J'ai 40 ans, je travaille dans une très grosse entreprise.....


Le bureau
ans, je travaille dans une très grosse entreprise. rien qu'au siège nous sommes près de 2000. il y a des cadres et des employés. je fais partie de la 2ème catégorie. donc je dois badger à chaque fois que je rentre ou que je sorte des locaux. comme beaucoup d'autres employé(es) "j'oublie" parfois de badger ce qui permet d'obtenir "gratuitement" des heures sup payées ou récuperées. Dans une société d'une telle taille, que vous badgiez ou pas, personne ne s'en aperçoit.voyant que ça fonctionnait parfaitement, et que mon chef, plutôt cool ne semblait rien remarquer, nous avons avec une collègue étendue notre fraude à l'échange de badge, si bien qu'il arrivait qu'elle badge pour moi et vice et versa. c'est à dire que parfois, alors que j'étais absente, "officiellement" j'avais fait 9h/18h.... la chose se reproduit 4/5 fois dans l'année. "j'oublie" de transmettre ma feuille de congés à la DRH si bien que bizarement il me reste encore une semaine de congés à prendre...... Mon responsable ne comptabilisant pas mes jours de congés, ça passe comme une lettre à la poste. Juste une fois, il me fait la remarque, "tient il te reste encore des vacances ...?"

Arrive l'été 2007, mon responsable à une promotion et change de service, et mon nouveau "boss" arrive. Je me méfie, et me tient à carreaux pendant 2/3 mois. Je déclare mes vrais horaires à queques bidouillages près, genre j'oublie de badger le midi, donc 30 mns me sont décomptées au lieu des 1h30 réellement prises. et encore pas souvent , je suis sur le qui-vive. le nouveau semble moins commode et surveille de plus près mes allées et venues et donc ma présence dans le service. A partir de décembre, avec ma collègue, je recommence ma petite tricherie. En tout début d'année, mon supérieur me fait passer mon entretien annuel d'évaluation, et, là, il est presque dithyrambique sur mon travail, et il est très content de moi et propose même de demander à la direction que je passe cadre. ce qui signifie, 400 euros de plus, et divers avantages auxquel n'ont pas accès les salariés non cadres.evidemment dans le contexte économique actuel, cette proposition est refusée par la hiérarchie. Ce refus m'est signifié par mon chef alors que la décision finale est venue de sa responsable à lui, donc ma N+2, Agnès. elle avait pourtant contre-signé le compte-rendu de l'entretien et avait écrit de sa main qu'elle était d'accord et qu'elle soutiendrait la demande de Pierre mon nouveau hiérarchique.

Depuis le début , je sens Agnès faux-cul, et ..... lèche-cul avec les hautes sphères. je ne suis pas encore au bout de mes surprises et de mes peines....acceptant mal ce refus ainsi que la façon dont il m'a été annoncé, j'aurai preferé que cette Agnès vienne me le dire elle-même, au lieu de cela elle continue tous les matins à répondre à mon bonjour avec un grand sourire
"Bonjour Catherine, comment ça va aujourd'hui ?"
Je suis obligée de garder façade, alors que mon coeur, mon humeur et mon orgueil me dicterait de lui répondre
"Bah, pas trop bien, connasse !"

Je décide donc de ne plus lui dire bonjour. quand elle me croise et me dit bonjour, je répond poliment , pas forcément aimablement mais pôliment, me disant que ça ira bien comme ça. Nous sommes donc en février 2008. Début mars, un matin Fabien arrive plus tôt que prévu au bureau, il ferme la porte et me dit que cela ne peut plus durer comme ça, que je dois changer de comportement et arrêter de faire la gueule. je me prend une "soufflante". Ca dure environ 1/4 d'heure et ça ressemble fort à un mini entretien de "recadrage". la façon dont l'entretien se déroule, ses paroles et son comportement des jours précédents me font penser que cet "acte" est téléguidée par la fameuse Agnès. car les jours d'avant Pierre ne semblait pas avoir de remontrances particulières à mon égard. Environ 1 semaine après , alors que nous sommes tous les 2 dans le bureau, il me confie qu'il m'aime bien et qu'il est content de moi, mais que je dois me méfier car Agnès m'a dans le pif comme on dit.... soutenue par mon supérieur, je reprend de plus belles mes petites tricheries de badge. jusqu'à un jour de début mars 2008, où mon chef me "convoque" pour un entretien le lendemain à 11h. le lendemain Pierre n'est pas très aimable à mon égard jusqu'à l'heure fatidique. il est 10h55, il me dit d'un ton sec : "Catherine, on y va !". et là, pendant 1h, il me montre le tableau qu'il a fait sur mes heures et mes jours de présence depuis plusieurs mois. et le moins que l'on puisse dire, est que mon emploi du temps ne correspond pas tout à fait à la réalité....j'ai une boule dans le ventre et les jambes se font molles. je suis dans mes petits souliers. j'ai l'impression que si je me lève, je tombe d'évanouissement. je pense tout de suite que je vais me faire virer..! à ma grande surprise, mon chef est plutôt compatissant. je reconnais d'emblée ma faute, mais lui demande la faveur de ne pas en avertir la hiérarchie. il semble désolé de la situation, par contre, il m'informe qu'il est hors de question de me couvrir, qu'il risque sa place. mais si on lui demande ce qu'il pense de moi, il dira du bien, afin que je ne sois pas virée. il me dit également qu'il doit voir Agnès en fin de journée à mon sujet. je passe une sale journée, d'autres se sont fait virer pour moins que ça. Rentrée chez moi, mon mari constate de suite mon angoisse. je ne lui dis rien. j'attendrai de connaitre ma sanction avant de lui en parler..le lendemain, il me faut du courage pour aller bosser. J'arrive sur la pointe des pieds. Pierre arrive tôt, pour m'informer discrètement qu'il a vu Agnès hier soir. visiblement elle n'a pas été surprise de ce qu'il lui a apprit. Dans le collimateur, elle devait secrètement me surveiller. J'apprends un peu plus tard que cette surveillance rapprochée de Pierre lui a été demandé à son arrivée par Agnès..... la salope ! jJ'apprends aussi que mon ancien boss avait des doutes à mon égard, et avant de quitter le service avait fait part à Agnès, des doutes qu'il avait sur l'inadéquation entre mes horaires déclarés et mes horaires réellement effectués.....Pierre m'informe que je vais être convoquée par Agnès dans la semaine. nous sommes mercredi, ça va, plus longtemps à attendre.. en début d'apm, le téléphone sonne, et le nom d'Agnès s'affiche sur l'écran... j'hésite à répondre, après tout, j'ai une messagerie, mais finalement et fébrilement je décroche. "Catherine ?" "oui" "tu viendras me voir dans mon bureau dès que tu auras 5 mns ?" "euh, oui, d'accord...."j'hésite à y aller de suite pour battre le fer tant qu'il est chaud , ou à attendre afin de paufiner un plan de défense argumenté. Pierre voyant mon angoisse et ayant deviner qui venait de m'appeller vient me voir. connaissant Agnès mieux que moi, il s'est déjà pris des soufflantes publiques, il me conseille de la jouer franco et de reconnaitre ma faute, plutôt que de chercher à nier. comme tout le monde dans le service, j'ai "peur" d'Agnès. la cinquantaine élégante, l'air très sévère, un ton sec, mais parfois mielleux. une vraie main de fer dans un gant de velours. Je ne serai pas la 1ère à ressortir en larmes de son bureau. n'ayant pas envie que tout le service sache que Catherine s'est faite convoquée par Agnès et qu'elle est ressortie les yeux rougis de l'entretien, je décide finalement d'aller voir Agnès en fin de journée.vers 16h00,

Agnès passe devant le bureau et dit :
"Ne tardes pas trop à venir me voir, c'est mieux pour toi......!!"


Ou là, la honte, je baisse les yeux, comme ça s'est fait tout le monde est au courant que je vais m'en prendre une. Une collègue vient me voir et me demande ce que j'ai fait, "rien" je lui répond. pas convaincue par ma réponse, elle me demande de la tenir au courant de ce qu'Agnès me voulait..... Tu parles ! finalement je décide d'aller voir Agnès vers 16h30. je n'en mène pas large. je sais que je peux me retrouver à la DRH dans 1 heure avec ma lettre. et que demain je ne ferai peut-être plus parti des effectifs. Je ne serai pas la 1ère. L'intonation d'Agnès est explicite :
"Tu sais pourquoi tu es en face de moi ?"
"Oui,'
Je ne vais pas mentir"
"Pierre est venu me voir hier soir, je suis surprise que tu es pris de tels risques, maintenant il va falloir que tu en assumes les conséquences......"
puis elle poursuit :
"Je suis allée voir la DRH ce matin, pour une telle faute, fraude, tricherie même, c'est licenciement immédiat !!!"
Jessaye de me montrer forte, mais rien n'y fait je me mets à pleurer.
"Pierre m'a dit tout le bien qu'il pense de toi en dehors de cette histoire, et il m'a demandé de te laisser une chance...."
puis elle enchaîne :
"Je suis d'accord, tu dois d'ici vendredi refléchir à ta bétise et me proposer une sanction qui me satisfasse et qui répare ta malhonneteté ..." "je te laisse refléchir à ta sanction, et retourner à ton poste."
Voilà, l'entretien a duré à peine 5 mns. je retourne toute penaude à ma place. Pierre attend quelques instants, puis vient me voir :
"Alors ?" me demande t'il.
Je lui explique. il me conseille de proposer de faire des heures sup gratos pendant 1 mois, durée à négocier avec Agnès. Je trouve l'idée excellente, après tout je ne ferai que rendre les heures volées à l'entreprise. Pour le 2ème soir consécutif, je rentre chez moi dans un sale état sur le plan mental. mon mari ne se doute de rien de ce qui se trame en ce moment au bureau pour moi.
Le vendredi matin, je vais trouver Agnès pour lui faire part de ma proposition. elle trouve l'idée excellente, mais, il y a un mais...! cela ne lui suffit pas. elle veut en plus une sanction plus exemplaire et qui n'appelle aucune récidive comme elle dit.-
"As tu déjà fait l'école buissonnière me dit elle ?"
"Oui- et alors ?"
"Tu t'es fait prendre aussi ?"
"Oui-"
"Qu'ont dit tes parents ?"
"Je ne sais plus, ça ne date pas d'hier, mais j'imagine que j'ai dû me prendre une bonne engueulade et également privée de sortie je pense, c'est vieux !"
"Et bien tu vois, ç'est là l'erreur de tes parents, si à l'époque ils t'avaient flanqué une bonne raclée, et bien, crois moi, tu t'en souviendrais encore et aujourd'hui tu aurais réflechis à 2 fois avant de commettre cette faute. donc je te propose de réparer cela....."-
"C'est à dire ?"
"Tu m'as très bien comprise !"
"Tu veux me donner une fessée, c'est ça ?
Ah si j'avais su, j'aurais dit la vérité, car en fait je crois me souvenir, et, connaissant mes parents, ce ne serait pas étonnant, qu'à l'époque de ce "séchage" de cours, ma mère avait probablement dû me flanquer une bonne correction..!
"Voilà ! je pense que cette méthode est beaucoup plus efficace qu'un simple blâme ou un avertissement, qui n'a finalement aucune conséquence si tu te tiens à carreaux. alors que là, tu auras un plus honte de ce que tu as fait, et de la façon dont tu auras été sanctionnée. avec juste une sanction administrative, tu pourrais fanfaronner auprès de tes collègues, je me suis pris un blâme, mais je m'en fous. alors que là, ça m'étonnerais très fort que tu ailles te vanter auprès de tes copines en criant haut et fort sur tous les toits : putain ! Agnès m'a mis une de ces trempes, cul nu en plus, je ne suis pas prête de recommencer à frauder avec mon badge....!"
"C'est sûr que si tu m'en donnes une, je ne vais pas m'en vanter !"
"Ah mais, il n'y a pas de si..! c'est ça ou ton dossier monte à la DRH avec toutes les conséquences que tu imagines".-
"OK, de toute façon, je n'ai pas trop le choix. elle ne sera pas trop forte, j'espère ?"
"Ca s'est moi qui en déciderait ! mais tu ne vas pas être déçue...."

"Pas à cul nu quand même ?"

"Parce que tu crois que tu vas te pointer à la sanction, habillée comme une russe et que je vais te fesser toute habillée ? ce serait trop facile."
"Non, mais un minimum, en pantalon ou en jean, ça fait déjà mal"
"Non ce sera déshabillée, je te laisserai ta culotte, mais attention à toi, si elle recouvre trop les fesses, je te la ferai baisser, ou je la rentrerai dans la raie des fesses afin de mettre à nue tes 2 globes fessiers...."
"Bon alors, en pratique comment fait on ? tu me punis tout de suite ? parce que là, il y a quand même un peu de monde dans les bureaux..... et même porte fermée...."
"Rassures toi, pour ton image et la mienne, il vaut mieux que personne n'en sache rien. Je serai à mon bureau lundi dès 7h, je t'y attendrai. Un conseil ne t'avise pas de ne pas venir ou de te mettre en arrêt de travail. ton dossier serait dès 9h00 sur le bureau de la DRH et ne sois pas trop en retard, je ne tolérerai pas que tu arrives après 7h30. Plus tu arriveras tôt, mieux ce sera pour toi. pour ta ponctualité, je pourrais t'épargner quelques claquespar exemple...."
"Je ne sais pas ce que je vais raconter à mon mari moi ! il ne va jamais comprendre pourquoi je pars sitôt au bureau.."
"Ca s'est ton problème, tu as toute la journée et le we pour y penser, et trouver une idée qui n'inquiète pas ton mari. c'est bon ?"
"Oui, ça marche à lundi alors ?
"Oui, n'oublies pas, entre 7h00 et 7h30 !"
"Non je serai là vers 7h15 je pense"
"Parfait ! alors bonne journée Catherine et à lundi. et profites bien de ton we, car la semaine prochaine va mal commencer pour toi......."

Oh la salope...! Elle ose se moquer de moi, en plus je suis scotchée. Sûr de son fait, elle ne m'a ême pas demandé de ne rien dire autour de moi ! elle n'a même pas peur que je cafte. Mais c'est vrai que ce serait sa parole contre la mienne. Et la hiérarchie saurait me remettre à ma place.Je passe une mauvaise journée, je ne peux m'empêcher de penser à la rouste qui m'attend lundi. Ca fait des années que je n'en ai pas reçu une. et quoi inventer comme prétexte à mon mari, qui va me voir partir au bureau 1h30 plus tôt que d'habitude....? Pierre, me voit, pas vraiment dans mon assiette. il me demande comment s'est déroulée l'entrevue avec Agnès. je lui répond : "Moyennement"
iI me dit
"Je me doute, mais encore ?"
"Elle a accepté l'idée des heures sup" ;
"Tant mieux, bon ça va t'es sauvée alors ...??" "
"Oui, si on veut...."

Pierre ne se doute pas de ce que veut dire ma dernière phrase. et il ne le saura probablement jamais, en tout cas toujours pas à ce jour. Tout le we je ne suis pas en très grande forme. mon mari s'en aperçoit, j'en profite pour lui confier que j'ai fait une grosse connerie au boulot, un dossier que je devais rendre vendredi sans faute, et que j'ai oublié... je l'informe que lundi je devrais partir très tôt pour terminer mon travail au plus vite afin de ne pas me faire souffler dans les bronches.... s'il savait ce que je vais prendre.... une simple engueulade ça n'aurait été presque rien. Il me propose si je le désire de s'occuper des enfants pour que j'aille bosser un peu durant le we. Merde , piégée, mais je m'en sors par une pirouette en lui disant que mon service est fermé le we et que je n'y ai pas accès, n'ayant pas les clefs. Voilà le tour est joué. maintenant, comment je m'habille...? Assez rapidement, je me dis, qu'en pantalon, je vais assez rapidement me retrouver cuisses nues, et fesses peu protégées. L'idée de la jupe et du collant s'impose assez vite, après tout elles restée vague et m'a laissé assez libre sur la tenue à adopter.
La hauteur de la jupe ou de la robe a maintenant de l'importance. pas trop courte, mais pas trop longue non plus, qu'elle n'aille pas croire, que c'est un acte volontaire de protection. J'opte finalement pour une robe noire, 7/8 cms au dessus des genoux.
Le lundi matin, de stress, d'angoisse et de précipitation, je file mon seul collant noir. merde ! alors va pour un collant couleur clair, genre cannelle. Aux pieds, va pour des bottines qui m'arrivent 7/8 cms en dessous des genoux. En haut ma robe étant sans manche, je décide de mettre un pull léger, blanc cassé, et sous la robe un caraco et un string bleu lavande.me voilà montée dans ma voiture, je n'en mène pas large. Au fur et à mesure que je m'approche du lieu et de l'heure fatidique, ma respiration se fait plus saccadée, mes jambes commencent à se ramollir. Je retrouve à cet instant des sensations identiques à l'enfance ou à l'adolescence, quand je rentrais pas très fière du lycée avec une heure de colle ou un mauvais bulletin de notes... je savais d'avance que ça allait être ma fête, et que j'allais passer un sale moment ! A cette heure là, ça roule impeccable, il n'est pas 7h10 et je suis déjà garée. qu'est ce que je fais ? j'y vais de suite ? Allez oui, le temps de fumer une clope, et il sera 7h15. Ma main qui tient la cigarette, tremble.... j'ai presque envie de pleurer. il fait encore sombre. J'aperçois de la lumière dans le bureau d'Agnès... pas de bol, elle est bien là, je ne sais pas, elle aurait pu tomber malade ou se casser une jambe durant le we....Je n'oublies pas de badger..... et je monte fébrilement le seul étage qui mène au bureau de la fesseuse. Je tape à la porte :
"Oui, Catherine, entre"-
"Je ne te propose pas un café ? on va passer aux choses sérieuses tout de suite... viens par ici, installes toi là face à mon bureau, relève ta robe et penches toi en avant, le buste bien posé sur mon bureau, comme tu peux le constater, j'ai fait du rangement pour que tu sois confortablement installée..." .
Je me dis : la garce, toujours aussi moqueuse !je ne suis pas fière d'avoir à relever ma robe face à elle..... ah mais c'est vrai, il y a des bruits qui courent qu'elle serait lesbienne..... je comprend mieux pourquoi elle veut m'infliger une telle punition.. en tout cas , qu'elle ne me touche pas, car là je crois bien que je lui en retourne une belle.je me penche en avant, elle me dit :


"Ah t'as mis un collant, pas folle la guêpe, des bas auraient été plus appropriés mais on fera avec, ça va te faire mal quand même, et si ça ne suffit pas, et bien on le baissera....."- t'es prête ?
moi en chuchotant :
"Oui"
Et pan ! c'est parti, 1ère claque. déjà première constatation, je n'avais jamais fait attention, elle est droitière, pour ce genre de punition, alors qu'elle écrit habituellement de la main gauche. En tout cas pour asséner une claque sur les fesses, elles n'est pas gauche du tout. J'ai bien senti la 1ère volée.s'ensuit une série de volées, au même rythme mais ça commence à tomber sur des parties déjà touchées.... ça commence à faire mal, alors à un moment je lui demande :
"Pas toujours sur la même fesse, .... s'il te plait".
Ma fesse gauche a bien pris. du coup la salope m'envoit une énorme torgniolle sur la fesse droite. du coup, je ferme ma gueule. Je n'ai pas eu le réflexe de compter, mais on doit en être à 10 claques sur la fesse gauche et 4 ou 5 sur la droite, même si la dernière fût de haute volée....jusque là, ça ne me parait pas si terrible, la douleur est là, mais supportable. Je ne crie pas, je ne pleure pas, ma respiration se fait juste un peu plus forte. ça ne loupe pas, elle me dit : Ca va t'as l'air de bien supporter",
Elle hausse le ton :
"Baisses ton collant !"-
"Non s'il te plait, pas cul nu"-
"Baisse ton collant !"-
" Nonnn, stp"
Elle me demande de me relever et de la regarder. Elle me montre la ceinture de son pantalon : "C'est ça que tu veux ?" ;
"Non" ;
"Alors baisse ton collant !".
Pas fière, je m'exécute. déjà qu'elle me laisse mon string. non pas qu'il protège grand chose, mais au moins l'intimité.-
"Eh bien je ne t'avais jamais vu tes cuisses nues, tu as la peau blanche dis donc.. on va remédier à cela, comme je dis à ma fille parfois, il vaut mieux rougir une fois que rosir cent fois"
Tiens, 1ère info, elle a une fille, et elle prend des volées aussi des fois...je reprend ma position. la fessée reprend de plus belle. Maintenant pour colorer d'autres parties et épargner le reste déjà bien marqué, elle me claque aussi le derrière des cuisses. Je lui dit :-
"Pas trop bas Agnès, ça va laisser des marques..."
la garce me répond :
"Si on te fais une remarque tu diras que c'est ton mari qui t'a foutu une bonne trempe ce matin avant d'aller au travail pour te punir de ton comportement durant le we...."
Je me dis bah voyons... c'est ça... Elle m'applique de nouveau une quizaine de claques. Enfin c'est fini, je me frotte les fesses. elles sont tièdes, et.... rouges. Je me rhabille. J'ai honte. Je n'ai même pas pleuré. la fessée a duré entre 5 et 10 minutes. Il doit à peine être 7h30, et je me suis déjà pris ma branlée. assurément la plus humiliante de ma vie. avant que je ne quitte son bureau, Agnès n'oublies pas de me menacer : "
"T'as eu de la chance cette fois-ci, la prochaine fois, c'est la ceinture...."
Intérieurement , je me dis , rassures toi connasse, il n'y aura pas de prochaine fois. Une fois rhabillée, je me dirige vers mon bureau, j e n'y suis jamais arrivée aussi tôt. Il est effectivement à peine plus de 7h30. 1h30 à travailler et tuer le temps avant que Pierre et mes collègues arrivent.. Quelle attitude vais je avoir tout au long de la journée ? Finalement, personne ne me fera de remarques sur mon comportement... seul Pierre à la fin de la semaine me confiera m'avoir trouvé étrange durant plusieurs jours. Quand à mon mari, le lundi soir en rentrant, evidemment, il m'a demandé si j'avais pu travailler suffisament pour rendre ce fameux dossier à temps. Je ne lui ai jamais raconté que j'avais passé un sale 1/4 d'heure ce jour là au bureau. et j'ai fait en sorte que ma tenue cache les parties fessées, même si depuis le matin, les marques avaient complètement disparues.
Pendant plusieurs semaines, lorsque nous nous croisions avec Agnès, son regard était insoutenable pour moi. moi je devais avoir l'air honteuse, elle avait le regard narquois et moqueur. Et surtout cette garce me disait bonjour avec un grand sourire comme s'il ne s'était jamais rien passé...... alors que moi j'avais envie de lui cracher à la g......Et puis, à peine 2 mois après cette terrible fessée, un matin j'arrive au bureau, j'allume l'ordi, j'ouvre mes mails, et là..... stupeur, j'apprend par une note tombée la veille au soir tard qu'Agnès a quitté l'entreprise pour poursuivre sa carrière dans une autre branche du groupe. incroyable !! elle était encore là hier ! je me renseigne un peu, et j'apprend que sa mutation était dans les tuyaux depuis plusieurs semaines....! donc le jour où elle m'a sanctionné, elle savait déjà qu'elle n'aurait pas à affronter et soutenir mon regard et ma présence non loin d'elle très longtemps..... je viens de me rendre compte, qu'elle voulait en fin de compte se "farcir" la Catherine avant de partir, qu'elle m'avait bel et bien dans le pif, et surtout qu'elle m'a bien eu....car finalement mis à part quelques semaines encore à passer ensemble, une fois quitté la société, elle ne craignait plus grand chose !!!!

J'aurai peut-être dû refuser ? Même encore maintenant, j'hésite à la dénoncer, mais je risque gros, en plus de la honte d'avoir à faire savoir que je me suis ramassée une telle fessée déculottée à 39 ans ?

Voilà des questions que je me pose, car mon histoire est vraie. bien entendu, personne n'est au courant que j'ai été punie de cette façon. pas même mon mari. par conséquent les prénoms ont été modifiés afin que personne ne puisse reconnaitre les vrais "acteurs".j'attend vos réactions, conseils, avis.

Voici mon email : catherinecarlison@yahoo.fr

Catherine.

mercredi 7 octobre 2009

46- Les récits des lecteurs - Bien au delà des fessées....


Voici le récit de N.
Un univers riche en émotions que je vous convie à retrouver sur son blog : http://n-toutsimplement.blogspot.com/


Depuis quelques temps nous nous éclatons lors de jeux de domination soumission.

C’est vrai que mon Maître et mari parvient à m’amener à des sommets de jouissance lors de ces séances. Jamais je n’aurais imaginée qu’une série de fessées pouvaient me mettre dans des états aussi réceptifs et propices à la jouissance. Toutefois ce ne sera pas une histoire de fessées que je vais vous relater mais de figging.

Jamais je n’aurais imaginée qu’une série de fessées
pouvaient me mettre dans des états aussi réceptifs
et propices à la jouissance...


La soirée avait pourtant commencée par quelques fessées au bambou. Quelques bonnes bien appuyées sur mes fesses et surtout une série d’une centaine avec un bambou vert et donc très souple sur tout le corps pendant que je le suçais à genoux. J’étais dans un état indescriptible et savais à peine encore comment je m’appelais. Rien que sous les coups et en le suçant, j’ai réussi à jouir avant qu’il n’y arrive lui-même. Il faut dire que depuis nos jeux de soumission il m’a mise à rude épreuve en me forçant à jouir dans toutes les situations. Ces situations, mon imagination et le fait de lui faire plaisir ont levés tous les obstacles et c’est bien rare que je n’arrive pas à l’orgasme quand il me le demande, sous les coups, en le suçant en me prenant par derrière ou même au restaurant.

Mais pour en revenir à notre soirée, après avoir eu un bel orgasme, il m’a fait mettre debout et m’a demandé de m’introduire deux beaux gingembres, devant et derrière.

Debout, immobile à sa demande, avec mes gingembres en moi, je devenais folle. D’autant plus qu’il m’a interdit de le toucher, de me caresser ou de gesticuler sous peine de nouvelles fessées. Comme je venais d’en prendre énormément et avait toute la peu sensible, j’ai tenté de me tenir à carreau. Me voyant malgré tout gesticuler après cinq six minutes, il m’a fessée en me disant qu’il n’arrêterait de me fesser qu’une fois que j’ai joui. Comme il frappait bien plus fort que d’habitude je n’arrivais pas à me concentrer. Aussi il a bien voulu que je me caresse afin d’y arriver, chose qu’habituellement il me refuse systématiquement. L’orgasme que j’ai eu fut d’une violence rare, à la hauteur de la violence des coups reçu et des marques toujours bien visibles.


N ;

jeudi 1 octobre 2009

45- La fessée féminine et les bas (Stockings and Spanking)




Alors qu'à l'origine, il désignait un vêtement masculin (le bas de chausse), les bas sont maintenant l'un des symbole de la féminité Aujourd'hui un bas désigne une fine et longue chaussette utilisée par les femmes pour tenir chaud, par souci d'élégance ou de séduction. Généralement en soie ou en nylon. il peut être très fin (8 ou 10 deniers) et presque transparent (bas voile), avec ou sans couture, ou légèrement plus épais et élastique (15 à 20 deniers). Le bas gaine la jambe depuis le pied jusqu'en haut de la cuisse, à la différence du collant qui comporte une culotte attenante.

Après le règne des collants, la principale motivation des femmes qui portent des bas semble être la volonté de séduction et d'élégance. Dans les année 1980, Chantal Thomass crée une collection où les bas et le porte-jarretelles apparaissent comme sexy

Les bas étant une pièce vestimentaire importante pour la femme, on le retrouve tout naturellement associé à la fessée. Jusque dans les années 1960, les femmes ne sortaient pas jambes nues et le bas constituait donc un élément obligatoire de la toilette. On le retrouve systématiquement dans les scènes de fessées des années 50

Le port des bas différencie immédiatement la fessée donnée à une femme de celle administrée à une jeune fille dans le cadre familial ou scolaire. La charge érotique des photos de femmes fessées portant des bas n'échappera pas aux hommes !

Dans les années 50/60, les jeunes femmes
recoivent encore la fessée maternelle

Il existe déjà aussi dans les entreprises
des stages de motivaton des employées...



Dès la préparation de la fessée et notamment pendant le déculottage, les bas mettent en valeur la surface à punir.




Bien que faire assaut d"élégance ne change en rien la punition qui va être administrée, il faut reconnaître que ces femmes ont un certain charme !




Même en position plus que délicate !




Malheureusement le port de bas n'attendrit pas celles et ceux qui sont chargées de la correction. Dans de nombreux cas, si la petite culotte est descendue ou otée, la punie peut garder ses bas et ceci quel que soit l'instrument utilisé....

La cane


Les bas, le porte-jaretelle et la culotte encadrent
les fesses en faisant une cible de choix..


Même si au XXI siècle la machine à fesser se généralise,
les bas ne constituent pas un problème


La brosse à cheveux...


Le paddle..



La ceinture..


Même lors de punitions officielles, la punie parfois garder ses bas


En tout cas il est évident que cela ne modifie
pas les effets cuisants de la fessées




Fessée au travail...



Fessée conjugale...

mercredi 9 septembre 2009

-44- Les récits des lecteurs - L'expérience d'Aurélie à Singapour.



C'est après la parution dans ce blog du chapître consactrée à la fessée judiciaire que j'ose me lancer dans ce récit....

Je m'appelle Aurélie, 48 ans maintenant, il m'a fallu plus de 5 ans avant de pouvoir écrire ce petit récit d'une mésaventure qui m'est arrivée en 2004 à Singapour. J'ai eu la chance de pouvoir travailler 2 ans à Singapour dans la filiale de ma banque et ainsi de découvrir les charmes de l'Asie dans une ville tenant à la fois de New York et de Honk-Kong. Au bout de 2 ans je m'apprêtais à rentrer en France quand je fis connaissance des pratiques pour nous inhabituelle de la justice singapourienne.Singapour est une ville état qui a l'obsession de l'ordre et du droit et les us et coutumes sont très strictes pour tout ce qui est notamment consommation de drogues même douces ou toute autre incivilités. J'ai eu en tant que française un peu de mal a accepté ce qui pour nous apparaît comme de la rigidité mais qui est considéré la bas comme des règles de vie. J'avoue ne pas avoir toujours respectée scrupuleusement les drastiques limitations de vitesse. et je m'étais déjà fait prendre une fois à rouler trop vite aux abords d'une école. Je m'en étais tirée avec une forte amende. quelques semaines avant mon retour nouvel excès de vitesse dans les même circonstances. Je pensais pouvoir passer au travers en attendant de rentrer en France mais il n'en fut rien Au moment de réserver mon billet retour l'agence de voyage me dit qu'en tant que résidente je ne pouvais quitter Singapour sans être en règle avec la justice, j'étais donc fichée ! Je m'apprêtait donc a de nouveau régler une amende rondelette quand je pris contact avec les autorités judiciaires. A là j'appris avec stupeur que comme il s'agissait d'une récidive d"un délit de moins d'un an, je devais passer au tribunal et que la date de parution était dans 2 mois. et donc d'ici là je ne pouvais quitter le territoirePensant simplement me heurter à une aberration administrative je pris contact avec le service juridique de mon entreprise à Singapour ainsi qu'avec quelques amis singapouriens. Je fus ébranlée quand je compris que j'étais dans une situation très délicate ne pouvant quitter Singapour qu'après avoir réglé ce problème. Ce fut en fait à l'ambassade de France que je trouvais une porte de sortie des plus inhabituelles. On me mit en relation avec une attachée d'ambassade qui avait réglé quelque mois auparavant un problème similaire. Une façon rapide de régler ce différent étant d'accepter une "transaction" avec le ministère de la justice qui abandonnait les charges si on acceptait l'application de la loi réservé au ressortissants de l'état qui avaient le choix entre poursuite judiciaire et châtiment corporel En d'autre terme si j'acceptais le châtiment corporel cela serait réglé rapidement et je pourrais rentrer en France vous imaginez mon état d'esprit car par châtiment corporel on entendait une magistrale fessée taille adulte administrée avec une lanière de cuir.. Vous imaginez mon embarras et attendit la toute dernière minute pour me décider à être corrigée. La personne de l'ambassade pris donc contact avec les autorités judiciaires, le lendemain je me rendais chez la juge et signait ma "feuille de punition" qui allait avoir lieu le vendredi suivant lors d'une "punishment session" avec 3 autres femmes dans le même cas que moi. Avant d'accepter je m'étais quand même renseignée pour m'assurer que la punition était donnée en privé, seules les 2 femmes chargées de la punition et une représentante du ministère de la justice y assisteront.Vous pouvez vous douter de l'état d'esprit dans lequel je me suis trouvée durant les trois jours qui me séparait de la punition.. J'ai bien du la vivre 100 fois, passant d'un raisonnable optimisme à une peur bleue. sans parler de la honte d'être punie ainsi et de l'angoisse de la lanière de cuir ! Le jour même je me suis posée la question de la tenue à adopter n'ayant pas vraiment l'habitude de ce genre de cérémonie.. connaissant un peu la mentalité singapourienne j'ai opté pour un tailleur assez chic style "executive woman" avec malgré le climat une paire de collants, les jambes nues n'étant pas appréciées là-bas. J'avais pris un jour de congé mais la matinée me parut interminable, le rendez vous étant en début d'après midi. J'étais à l'adresse indiquée une bonne demi-heure avant l'heure. Ce n'était ni une prison ni un endroit sordide mais une tour de plusieurs dizaines d'étages presque dans le centre ville. Au 21è étage d'un immeuble de bureaux se trouvait la partie des bureaux de l'office pénitentiaire en charge de l'exécution des peines. Pas vraiment très à l'aise je me présentais au bureau indiquée sur la convocation, une secrétaire vérifia mon identité et me fit entrer dans une salle d'attente moderne. Rien à voir avec un cachot ou une prison ! A l'heure dite nous étions toutes les 4 plutôt dans nos petits souliers malgré quelques sourires de façades. Une assistante vint nous expliquer la procédure d'ailleurs fort simple. A l'appel de notre nom nous devions entrer dans une cabine pour nous préparer c'est-à-dire ne garder sous la ceinture qu'une petite culotte. Ensuite on attend que la punition précédente soit terminée et à l'appel de notre nom on pénètre en salle de punition ou il nous suffira de suivre les instructions En tout cas je ne suis pas la première, une jeune femme d'une trentaine d'années est appelé et pénètre dans une cabine.un voyant vert s'allume. Quelques minutes après le voyant jaune s'allume puis rapidement le voyant rouge, on administre la première punition .je ne serais pas non plus la deuxième. Le temps apparaît bien long "Enfin" on appelle mon nom, il faut en finir. Je pénètre dans la cabine et rapidement j'ôte souliers ,jupe et collants et l'attente reprend. Quelques secondes après j'entends un bruit mat et étouffé qui se reproduite a intervalle régulier; la punition a commencé. Là je ne fanfaronne plus c'est franchement la peur panique. entendre même faiblement le bruit de la lanière me glace le sang. Enfin après un temps qui me parait interminable les coups cessent n'ai pas pu m'empêcher de les compter, 24 comme pour moi. Nouvelle attente et j'entends la porte de la cabine d'à coté s'ouvrir et j'entends clairement le bruit de pleurs. Puis je suis appelée en salle de punition. je pénètre dans une grande salle très claire avec de nombreuses plantes, pas du tout l'idée qu'on se fait d'un tel endroit. Deux femmes sont présentes, une troisième se tien en retrait. C'est cette dernière qui relit la sentence et demande aux deux autres de procéder à la punition. Cela va finalement très vite, je dois me placer devant une sorte de petit chevalet qui va servir à me maintenir durant la punition. Avant de me courber sur le chevalet je reçois l'ordre de "baisser ma culotte"..malgré la honte je pensais que cela serait plus difficile. Puis une fois courbée sur le chevalet une des femmes se place devant moi et me maintient fermement ainsi maintenue et les pieds ne touchant plus le sol, toute résistance efficace est impossible. Rien ne peut vous préparer à une correction a la lanière de cuir le premier coup me prend par surprise et me coupe le souffle.

Rien ne peut vous préparer à une correction à la lanière de cuir....



Le second frappe le bas des fesses, j'ai l'impression a chaque coup d'être plaqué sur le chevalet. Pour le moment et c'est paradoxal la douleur est là mais pas insupportable, je me surprends même à penser que ce n'est pas si terrible que cela quand cesse la première série de 6 cinglades. La deuxième série commence et la très rapidement on passe au terrible car les coups tombent sur des endroits déjà meurtris.. Au bout de 12 soit à la moitié de la punition j'ai l'impression d'être au bout de ma résistance que je ne pourrais en supporter plus. Je m'accroche désespérément au barreaux du chevalet, j'essaye de reprendre ma respiration mais je gigote comme une damnée Que dire de la dernière série de 6 ? rien si ce n'est que l'on perd tout contrôle de la situation et je ne sais comment je n'ai pas hurlée, peut être simplement les derniers lambeaux d'orgueil C'est fini, la seconde femme me dit de me relever.mes bras sont comme tétanisés d'avoir serré les barreaux, mes épaules me font mal tellement la seconde femme appuyaient dessus pour me maintenir en position disciplinaire .quant à mes fesses j'ai l'impression qu'elles ont doublé de volume. J'ai le souffle court et les cheveux collés sur le front. Je me relève péniblement, me reculotte tant bien que mal un peu hagarde mais heureuse que cela soit terminée. Avant de pouvoir regagner la cabine je dois contresigner le procès verbal de punition qui est en fait mon sésamepour rentrer en France Voilà je suis enfin dans la cabine ou je retrouve un peu d'intimité et de calme; je me rhabille rapidement mais sans remettre mes collants j'ai peur que cela frotte sur des cuisses elles aussi malmenées.Me revoici dans la rue, j'essaye d'avoir une attitude normale qui ne laisse rien présager d'un arrière train dévasté qui ne reprendra une couleur a peu près normale qu'en fin de soirée près plusieurs douches et autres serviettes glacées. Ce fut je l'avoue une expérience éprouvante et étonnante, il m'a fallu plus de 4 ans et le couvert de l'anonymat pour aborder le sujetMaintenant, de retour en France quand je lis les incivilités dont sont capables les collégiens et même les lycéens, je ne peux m'empêcher de sourire en pensant à se qu'ils et elles risqueraient s'ils étaient singapouriens !J'espère que cette anecdote intéressera certains de vos lecteurs et qu'ils laisseront des commentaires.

mardi 8 septembre 2009

-43- La fessée parentale - Parental Spanking



La fessée une arme de punition massive dans les années 50...






La fessée parentale

C'est certainement la fessée qui durant l'histoire de l'humanité a été la plus administrée et qui l'est peut être encore : Pendant très longtemps cette punition a été employée par les parents non pas comme forme d'éducation comme on l'entend trop souvent mais comme forme de punition.. Tout comme la fessée conjugale d'ailleurs, la fessée parentale se fait dans un contexte d'amour ce qui la différencie de la fessée scolaire et encore plus de la fessée judiciaire. Encore couramment utilisée dans les années 50 et 60, elle tend à devenir moins fréquente à partir des années 70.


Il faut semble t'il maintenant réapprendre aux parents à administrer une fessée.





1- L'annonce de la punition.

Les enfants qui ont connu cette punition vous le diront, on sentait inconsciemment quand il y avait de la fessée dans l'air. Les circonstances évidemment comme un mauvais carnet scolaire ou une grosse bêtise mais aussi un certain énervement des parents, la conjonction des deux aboutissant à la correction. Dans certains cas il n'y a pas d'annonce et la fessée tombe directement mais dans la plupart des cas elle est annoncée même si l'annonce précède de peu la sanction. Suivant les familles et les circonstance cette dernière peut avoir lieu discrètement dans une chambre u dans un lieu de la maison en "tête à tête" avec le père ou la mère ou donner lieu à une explication plus familiale. Cette dernière solution est beaucoup plus embarrassante



Elle est généralement administrée dans un lieu discret..





2- La préparation.


Elle dépend pour beaucoup du type de fessée administrée. Dans le cas d'une fessée manuelle ne demandant pas d'aller chercher un instrument quelconque la préparation se réduit à une "mise en condition" du ou de la punie se traduisant pour une dénudation des fesses plus ou moins complète et à une mise en position pour la punition..


La préparation est souvent embarassante...




La réflexion avant l'action...


Et puis tout se précipite...







3- La fessée manuelle .

Quelle soit maternelle ou paternelle la fessée manuelle est plus ou moins sévère suivant si la fessée est administrée déculottée ou pas. Ensuite le nombre de claques et leur intensité permettent d'ajuster la sévérité de la punition à la faute à punir.



Les mères sont généralement de redoutables fesseuses..





Qui ne se laissent pas facilement apitoyer...







La fessée va généralement jusqu'à son terme





Les gigottements n'y changent rien




Quand il le faut les pères savent aussi l'aministrer...



Sans concession...



Filles commes garçons la reçoivent...








Dans certains cas l'union fait la force et les deux parents sont présents et peuvent participer à la fessée. Dans d'autres cas la tante ou une voisine peuvent aussi prêter main forte à la mère pour mater une insubordination généralisée...…








Cette fessée manuelle, généralement administrée le ou la punie couchée en travers des genoux de celui ou celle qui donne la fessée est le symbole même de la fessée. On la retrouve fréquemment administrée dans la discipline conjugale notamment par nombres de maris.


4- La brosse à cheveux et le paddle.

La brosse à cheveux, assez peu utilisée en France est un instrument particulièrement utilisée aux USA notamment par les mères de famille. Instrument pratique et présent dans toute les maisons, les fessées à la brosse sont redoutables et généralement administrées à des enfants plus âgés.


La brosse est l'instrument punitif le plus utilisé par les mères....


Un véritable ballet...






Avant d'aller se coucher...



Les pères n'hésitent pas non plus à utiliser la brosse.....



Le paddle est une planche de bois, typiquement américaine que l'on retrouve beaucoup dans les punitions scolaires et parfois judiciaires. Utilisés sans modération dans les famille anglaises jusque dans les années 50, leurs usages tend à nettement diminuer



On utilise aussi la cuillère de bois.....


Et la règle plate....


Même les grands garçons la recoivent.....


La quintescence de la fessée parentale




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5- La strappe et la tawse.
Ce sont des instruments de cuir anglo-saxons qui sont l'équivalents de notre martinet qui a longtemps trôné dans la cuisine ou était rangé dans la commode. Ces instruments particulièrement cinglants sont d'une redoutable efficacité sans être dangereux.. En France le martinet (dont certains essayaient de couper les lanières…) a longtemps accompagné la jeunesse





Le soir on règle les comptes en famille...



6 – La canne en bambou.
Souvent associée à l'éducation anglaise cette redoutable canne servait surtout dans le milieu scolaire ou judiciaire. Appliquée dans les familles jusque dans les années 70, c'est cependant une punition moins fréquente que la brosse à cheveux ou la lanière de cuir.




7 – Après la fessée.
Quelle que soit l'importance de la faute, toute fessée a une fin. Il faut cependant distinguer la fin de la fessée en elle-même (la dernière claque ou la dernière cinglée) de la fin de la punition. Après la fin de la correction et avant le retour au calme une période assez inconfortable tant sur le plan physique que moral peut clôturer la punition, c'est la mise au coin accompagnée ou non d'un sermon….. Ce n'est qu'une fois reculotté que le ou la punie peut se dire qu'enfin c'est terminé….


Même une fois la fessée terminée, les récriminations peuvent continuer




Retour au calme....







Enfin et surtout il ne faut pas oublier la phase de pardon et d'amour qui accompagne obligatoirement la fessée parentale…