mardi 28 juillet 2009

-3- Quelques statistiques concernant l'emploi de la fessée conjugale dans les couples américains



Voici quelques statistiques glanées dans les études américaines concernant l'usage de la discipline conjugale. Ces chiffres n'ont pas de valeurs statistiques mais donnent certainement une tendance qui permet de tirer quelques conclusions…

1- La cause de la punition : Pour les hommes c'est l'infidélité réelle ou supposée qui est la principale cause des punition (41%) assez loin devant les "mauvaises attitudes"(23%) qui vont depuis le visionnage de film pornographique à la mauvaise volonté à effectuer quelques taches ménagères. La mauvaise gestion du ménage et autre problèmes financiers ne constituent que 13% des motifs. Les querelles sur l'éducation des enfants ne représentent pas une causes importantes de punition. Enfin il fut noter que les femmes reprochent beaucoup de petites choses aux hommes ce qui explique ce chiffre élevé (17%)pour la rubrique divers.
Les hommes semblent moins douter de la fidélité de leur épouse seulement 23% sont punies pour ce motif. elles sont généralement punies pour leurs "mauvaises attitudes" dont semble t'il une bonne partie se situe dans la chambre conjugale ! (35%). Enfin il semble arriver que parfois Madame fasse "fumer la carte bleue" ce qui lui vaut un postérieur asses chaud...(33%).


2- L'âge des puni(e)s. Aussi bien pour les femmes que pour les hommes, il ne semble pas que ce soit les couples les plus jeunes qui pratiquent le plus la discipline conjugale (35-40 ans pour les femmes; 40-45 ans pour les hommes). On peut avancer 2 explications, une sur le fait que l'emploi des châtiments corporels diminuant dans la société les jeunes générations songent moins à y avoir recours, la deuxième est qu'il faut une certaine maturité pour accepter librement une telle discipline.

3- Les catégories socioprofessionnelles. On remarque tout de suite une forte représentation des cadres, des enseignants et des professions libérales. Il semble donc qu'il y ait une grande relation entre l'utilisation de la discipline conjugale et le niveau d'étude. de la à penser que les intellectuels recherchent la fessée…. en tout cas il y a plus d'enseignantes de grandes villes, de cadres de métropoles économiques qui pratiquent la discipline conjugale que de couples d'agriculteurs ou d"ouvriers.


4- Type de punitions . La sévérité de la punition peut être graduée en fonction de l'instrument que l'on utilise pour frapper les fesses et le haut des cuisses. Classiquement la "vraie" fessée est administrée avec la main ouverte, c'était celle que l'on réservait naguère aux enfants désobéissants. Elle est réputée sans danger et relativement "clémente", c'est peut être pour cela que les maris l'emploient le plus sur leurs épouses. Les maris reçoivent quant à eux plus fréquemment des fessées administrées avec un instrument en cuir qui peut aller de la ceinture, à la strappe anglo-saxonne, à la tawse écossaise, à la pantoufle en cuir (slipper) jusqu'au très français martinet.. Ces instruments, forts efficaces, sont censés causer une douleur plus vive sans pour cela être dangereux. On retrouve aussi en bonne place les instruments punitifs en bois tels que la brosse à cheveux très anglaise, et le paddle (raquette de bois) très américain. Contrairement aux idées reçues et qui montre bien la différence entre la discipline conjugale et la sado-masochisme, la cane anglaise, la badine ou tout autre fouet sont très peu employés.


5- Sévérité . La sévérité de la punition dépend aussi de la protection vestimentaire que peut garder le ou la punie. une fessée déculottée est beaucoup plus efficace qu'une fessée administrée sur le fond du pantalon. Et bien là les études montrent que dans la grande majorité des cas les punitions sont données sur les fesses nues. Cela tient en grande partie à ce que la fessée se doit d'être efficace et que dans le cadre du couple on hésite pas à dénuder son conjoint.


6- Réactions des puni(e)s. L'administration de la punition a de fortes conséquences sur le comportement de celui o celle qui la reçoit. Bien peu de personnes disent recevoir stoïquement leur fessée mais ils sont finalement aussi peu nombreux à reconnaître "perdre le contrôle" de la situation. La majorité des personnes punies admettent pour les plus courageux quelques gémissements et quelques larmes pour les autres de véritables sanglots et des cris. Ces notions de réaction lors des punitions sont d'ailleurs très suggestives…


7- Lieu de la punition. Dans la grande majorité des cas la punition a lieu dans la chambre conjugale mais aussi dans la salle de séjour ou le salon. Quelques punitions sont administrées dans le garage ou une dépendance de la maison. Très peu de punitions sont administrées en dehors de la maison familiale au sens large.


8- Publicité de la punition. Dans la grande majorité des cas, la punition se déroule en privé. La majorité des couples prennent "ailleurs le maximum de précaution pour que cela reste secret. L'heure de la punition, la présence des enfants ou des voisins conditionne souvent le lieu et le moment de la punition. Dans de très rare cas, la punition est administrée devant un témoin renforçant alors l'embarras du ou de la punie. Aucun n'exemple de punition publique n'a été mentionnée.


CONCLUSIONS… De toutes ces études il apparaît que ce sont des couples relativement aisés, d'un bon niveau d'études et dans la force de l'âge qui pratiquent le plus la discipline conjugale…

Vous trouverez ci-dessous les vidéos des deux punitions les plus couramment administrées.

Monsieur reçoit la strappe par Madame

Monsieur administre à Madame deux magistrales fesées...qui a dit que la fessée manuelle n'était pas une véritable punition ?

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