jeudi 22 avril 2010

58 - Les récits des lecteurs : L'expérience de Croquemitaine (3)



Si j’ai la chance de fesser plusieurs derrières féminins et la malchance d’être fessé de la main d’une femme , j’ai aussi été le témoin par deux fois de fessés féminines sur des fesses féminines !!!

La première fois ce fut au début des années 80, lors d’une soirée entre copain et copine, alors que j’étais le seul copain avec trois copines, collègues de travail, Valérie, Nathalie et Patricia qui nous recevait chez elle.

A l’issue d’une soirée pizza chez Patricia, la benjamine de tous, cette dernière nous invita et nous incita à jouer au poker, jeu qu’aucun d’entre nous, mis à part Patricia ne semblait connaître, aussi nous en apprit-elle rapidement les règles. Nathalie intervint en mettant en garde Patricia de sa malchance aux jeux, surtout quand il s’agissait de jeux d’argent, aussi Valérie et moi-même, les deux aînés, décidèrent qu’il ne serait pas question d’argent entre nous. Il était 21 heures et nous fixâmes l’heure de la fin de la partie à 22h30 maximum ; une partie simple et courte, histoire de nous amuser, guère, ni plus. Les sommes fictives mises en jeu seraient notées sur une feuille tout au long de la partie et au final, le vainqueur donnerait un gage au perdant. Tout le monde étant d’accord, même Patricia, nous nous réunîmes autour de la table ronde du dîner et la partie commença.

Le temps, passa, les cartes tombèrent et aussi les sommes fictives, les plus âgés étant les plus sages pour les mises d’argent et les deux plus jeunes, surtout Patricia, étant les plus folles et les plus dépensières !!!

A 22h30, arriva le temps de la fin de partie, le temps des comptes, des dépenses et des pertes, le temps du bilan.

Valérie était la vainqueur et Patricia la grande perdante et au bilan, si elle avait du régler sa dette de jeu, plus de la moitié de son salaire y était consommé. Patricia, tête baissée, s’attendait déjà à une leçon de morale de nous tous et surtout de Valérie, mais ni elle, ni Nathalie et moi-même ne pouvions imaginer le gage qu’allait lui imposer Valérie. Nous étions tous quatre encore assis autour de la table de jeu, lorsque Valérie prit la parole : « afin de d’éviter à l’avenir de jouer sans compter ton argent et de risquer de le dépenser et d’avoir des dettes, j’ai choisi de t’imposer une gage particulier ma chère Patricia, gage qui devrait aussi te servir de leçon … je vais te donner la fessée, voici ton gage ! Nos deux amis vont prendre place au salon dans le canapé, tandis que toi et moi, nous nous placerons sur une chaise, face à eux, qu’ils puissent profiter du spectacle … allez tous en place ! ».

Nathalie et moi, nous installâmes confortablement sur le canapé, tandis que Valérie plaçait une chaise face à nous, prenait Patricia par la main alors que cette dernière contestait en bredouillant et en souriant, sans trop y croire le gage.

Valérie s’installa sur la chaise, fit passer Patricia à sa droite et tout en la tirant par un bras, elle la saisit par la taille et la fit basculer en travers de ses genoux, si bien que Patricia se retrouva les mains au sol sur la moquette, les jambes et le derrière en l’air. Ne perdant pas de temps, tout en la maintenant fermement par la taille, Valérie retroussa la courte jupe de la perdante, laquelle poussa un « ho ! » d’étonnement et sans perdre de temps, à notre étonnement, mais aussi pour notre plaisir, descendit jusqu’aux genoux le collant et la culotte de Patricia, qui cette fois poussa un « non ! » d’indignation et commença à se trémousser sur les genoux de sa fesseuse attitrée, promettant, jurant qu’elle ne recommencerait plus à jouer aux jeux d’argent … « il fallait y réfléchir avant … tant tu as perdu et j’ai gagné, donc j’ai choisi le gage ; je fixe donc la fessée à douze claques pour toi, douze pour moi et douze pour chacun de nos deux invités, claques que j’arrondis à cinquante pour faire un compte rond !

"Et avant que Patricia ne conteste cette décision
les claques tombèrent en cadence.... "


Et avant que Patricia conteste cette décision, les claques tombèrent en cadence sur le derrière nu, remplissant la pièce d’un bruit sec, tandis que Nathalie et moi, profitions du spectacle. Au début, Patricia grimaça à chaque impact sur ses fesses nues et plus les claques tombaient, plus les grimaces se transformèrent, Patricia serrant des dents en permanence, battant des jambes dans tous les sens. La fessée ne dura que quelques minutes et d’où nous étions, nous pouvions voir ses fesses changeaient rapidement de couleur, du rose clair, au rose rosi, pour finir au rouge lorsque Valérie cessa la fessée. Patricia se releva rapidement, rabattant sa jupe sur ses fesses nues et disparut vers sa salle de bain. Valérie nous rejoignit sur le canapé et commenta cette fessée ainsi : « je pense que maintenant Patricia saura qu’il vaut mieux payer ses dettes de jeu avec ses fesses qui sont mieux rembourrées que son porte-monnaie ». Au bout de longues minutes d’absence, Patricia réapparut, ayant remis de l’ordre dans sa tenue, les pommettes rouges et d’une voix timide, nous remercia pour cette leçon si particulière.

La seconde fois qu’il me fut donné d’assister à une fessée entre « filles », ce fut au milieu des années 80 et ce fut une des cousines de ma future femme Sylvie qui en fit les frais, en recevant, une bonne fessée en public.
A la suite de divers voyages en famille, j’avais fini par faire la connaissance de la majorité des cousines de ma future femme, groupe de « filles » âgées de 25 ans à 16 ans. Ma femme en était l’aînée, puis venait Claudine, âgée de 21 ans et enfin les deux sœurs Carole 17 ans et Isabelle 15 ans.
Ce même été, les quatre principales cousines dont deux étaient sœurs, partageaient dans la maison familiale les mêmes vacances que je partageais avec elles en accompagnant ma future femme.Tout se déroulait bien jusqu’à cet après-midi où nous étions qu’entre nous et où Claudine manquant certainement d’argent de poche se fit surprendre par Sylvie entrain de fouiller dans son sac à main pour y emprunter de l’argent, sans même lui demander. J’étais à l’extérieur avec les deux plus jeunes cueillant des fruits, lorsque Sylvie vint nous y retrouver pour nous demander de les rejoindre au salon pour un conseil de famille, ce que nous fîmes. Lorsque nous entrâmes dans la pièce, à la tête que faisait Claudine, je vis que c’était sérieux. Sylvie était assise, Claudine debout à sa droite, bras croisés dans le dos et tête baissée et face à elles deux nous attendaient trois autres chaises où Sylvie nous demanda à tous trois de nous assoir. Elle nous annonça alors que Claudine était une voleuse, qu’elle méritait d’être punie et que malgré ses 21 ans, elle allait recevoir la fessée devant nous tous, comme une sale gamine et que cela servirait de leçon aux plus jeunes. Je pense que Sylvie avait déjà arrêté la « punition » avec Claudine avant notre arrivée, car cette dernière ne contesta pas la sanction, mais seulement ma présence demandant seulement à Sylvie d’être fessée qu’entre filles. Ma femme lui répondit que ce n’était pas la vue d’une paire de fesses qui allait me faire perdre la vue et qu’elle n’avait qu’à réfléchir avant de réaliser sa tentative de vol et joignant le geste à la parole, elle la fit basculer en travers de ses genoux où Claudine se retrouva la tête en bas, le derrière et les jambes en l’air. Malgré les contestations de Claudine, Sylvie lui retroussa jusqu’à la taille sa courte jupe en tissu imprimé et sans perdre une minute, à deux mains elle fit glisser la culotte blanche, nous révélant à tous une belle paire de fesses rondes et potelées.


"et sans perdre une minute, à deux mains elle fit glisser la culotte blanche"

Une fois la culotte parvenue à la pliure des genoux, Sylvie saisit Claudine à la taille de son bras gauche et je vis alors d’où j’étais placé, face à la fesseuse et à sa punie, les fesses de Claudine se contracter, se serrer jusqu’à se rejoindre, s’apprêter à la correction qui allait commencer, tandis qu’elle commençait à pleurnicher, à supplier…

Le bras droit de Sylvie se leva et la paume de sa main se mit à fesser en cadence, mais en prenant son temps, la croupe de la coupable, offerte à la fessée claquante et cuisante qui ne faisait que commencer. Chaque fois que la main claquait le derrière tendu, la pièce se remplissait d’un bruit sec, suivi d’un cri de douleur de Claudine et laissait une trace rouge sur la fesse venant d’être claquée. Sylvie fessait Claudine avec ardeur et précision, alternant d’une fesse à l’autre et à chaque gifle, les deux plus jeunes cousines serraient les dents, ce qui me fit penser qu’elles aussi avaient du auparavant connaître ce genre de mésaventure à la suite de bêtises soit de la main de Sylvie ou de celle de Claudine, dont pour une fois, elles se voyaient venger aux sourires que toute deux affichaient en observant Claudine se tortiller et battre des jambes pour tenter d’échapper aux claques, tout en poussant des cris des douleur, des aïe, des ouilles, suppliant Sylvie de cesser, alors que la même Sylvie, le sourire aux lèvres savourait elle aussi cette fessée qu’elle continuait d’administrer, visant posément chaque fesse avant d’y laisser tomber sa longue et fine main sous laquelle au fur et à mesure, les fesses si serrées et si fermes au début de la correction, tressautaient maintenant dans tous les sens, tandis que Claudine entre deux cris de douleur, entre deux sanglots, tentait d’appréhender les claques en serrant les dents. Les claques étant sévères, mais rythmées et écartées dans le temps, il devenait facile d’observer que le derrière de Claudine, si pale avant la fessée, rosissait, rougissait et devenait à ce moment écarlate !!!

"Sylvie fessait Claudine avec ardeur et précision"


Au bout de longues minutes, Sylvie cessa la fessée, relâcha la taille de Claudine qui s’en attendre se releva, se reculotta rapidement et des larmes plein les yeux, se frottant à deux mains les fesses sous sa jupe, disparut vers sa chambre. Carole et Isabelle furent sermonnées et menacées du même châtiment en cas de vol de leur part et furent renvoyées à leur cueillette de fruits.

Sylvie me prenant par la main, m’avoua qu’elle s’était bien vengée de sa cousine qu’elle soupçonnait depuis fort longtemps de fouiller dans ses affaires et que la dernière fessée que je lui avais administrée la semaine précédente, au secret dans notre chambre, alors que nous étions seuls dans la maison, à la suite d’un caprice de sa part et qui était la première fessée que je lui avais donnée culotte baissée, car jusqu’à ce jour je la fessais seulement jupe ou robe retroussée, lui avait servi et de leçon et de modèle !!!

1 commentaire:

  1. Le 8 Aout (8/8) Jour Mondial de la Fessée
    Dans les blogs en espagnol et en catalan dès le 26 Juillet 2006 le 8 d’Aout de chaque année est reconnu come le Jour Mondial de la Fessée. La raison ? Bien, le besoin d’avoir un jour pour célébrer la joie de la fessée. Pourquoi le 8/8 ? C’est une des dattes plus rondes de l’année et, en plus, on était très proches du 08.08.08 et un des jours plus chaleureux de l’année a l’Hémisphère Nord (ou habite la plus grande partie de la population humaine).
    Aussi on a un symbole, la salamandre, par sa forme qui rappelle la « S » de spanking et sa première lettre, aussi un « S ».
    Le 8/8 est accepté par beaucoup de bloggeurs spankos de la communauté francophone.
    Dans les blogs américains il a commencé une petite campagne pour instituer le 3 Juillet come le jour de la fessée. Par exemple : http://americanspankingsociety.com/?p=4639
    Nous vous demandons, s’il vous plait, de vous sommer à renforcer le 8/8 comme le Jour Mondial de la Fessée en faisant tout ce qui vous soit possible pour arriver a un consensus sur ce sujet.
    Merci d’avance
    Cordialement
    Fer
    http://azotesynalgadas.blogspot.com

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