dimanche 18 avril 2010

56 - Les récits des lecteurs : L'expérience de Croquemitaine (2)



Les lecteurs savoir si une fessée reçue d’une main féminine à un peu plus de 40 ans a plus ou moins d’effet qu’une fessée reçue à l’âge de 15, 16 ans … et bien ce n’est pas comparable … en effet adolescent, j’ai été fessé par une voisine pour avoir regardé sous ses jupes, pour tenter d’y apercevoir ses lisières de bas, ses jarretelles et sa culotte et la fessée qu’elle m’a administré, déculotté et renversé en travers de ses cuisses, a été plus une correction, qu’une punition !!!

Tandis que celle reçue à 42 ans de la main d’une complice en jeux de fessées a été à la fois une punition et une initiation.

En effet, ayant fait la connaissance via internet d’une dame d’une quarantaine d’années, amatrice et je devais le découvrir plus tard, grande consommatrice de fessées, je dirais même gourmande de fessées, nous avons convenu après une longue correspondance et une rencontre informelle pour mieux faire connaissance, de nous retrouver un samedi après-midi pour nous adonner à notre passion commune. Lorsque je suis allée l’accueillir dans une gare parisienne et que je l’ai vue arriver, j’ai compris qu’elle avait mis tous les avantages de son côté pour me décider à la fesser, car si jusqu’à présent j’avais fessé des fessiers féminins dont la taille flirtait avec le 40, 42, je ne mettais pas encore exercé sur du 36 et je craignais qu’un derrière si petit puisse mal amortir une bonne fessée … mais je me trompais …

La dame est donc arrivée vêtue d’un tailleur noir, les jambes gainées de lycra gris et chaussées d’escarpins. Nous nous sommes rendus dans mon studio parisien et avons convenu une dernière fois des règles du jeu avant de commencer : pas d’attouchements, tenue adoptée, définition d’un mot code pour cesser, etc … une fois tout ceci défini et acté, la dame n’étant pas réticente à recevoir une bonne fessée, jupe retroussée et culotte baissée, elle s’est allongée en travers de mes cuisses et après s’y être à peu près bien installée, j’ai entrepris le retroussage de sa jupe cintrée de tailleur pour la lui rabattre sur la taille et découvrir qu’elle portait des bas et une ravissante mini-culotte que je lui fis glisser jusqu’aux plis des genoux, déculottant un ravissant petit derrière, hâlé et légèrement potelé, ce qui me fis un peu hésiter car dans le passé j’avais eu plusieurs fois l’occasion de fesser une autre complice avec un tel fessier, mais celui-ci sous les claques bleuissait plus qu’il ne rougissait !!!


La maintenant fermement par la taille, je lui demandais si elle était prête et pour toute réponse je vis ses fesses se contracter, se serrer et je commençais à la fesser énergiquement alternativement d’une fesse à l’autre, ma main rebondissant allègrement d’un globe à l’autre. De temps à autre, je m’arrêtais pour vérifier de l’efficacité de la punition et aussi pour entendre si la dame avait quelque chose à me dire, car cela faisait plusieurs minutes, donc plusieurs dizaines de paires de gifles que je lui claquais la croupe, lorsqu’elle me fit cette réflexion

Si tu penses m’impressionner avec une petite fessée de rien du tout



« Si tu penses m’impressionner avec une petite fessée de rien du tout, il va falloir que je t’ apprenne comment fesser une femme ! »


Ebahi, je m’arrêtais et la dame en profita pour se relever de mes genoux. Une fois redressée, elle enjamba sa minuscule culotte dont elle se débarrassa en la posant sur la table du salon, rebaissa sa jupe sur ses cuisses, me fis lever et s’assit à ma place. Une fois assise, elle me fit signe de l’index de l’approcher par la droite et une fois à sa portée, elle desserra ma ceinture de pantalon, puis le déboutonna, baissa le zip et baissa mon slip à mi-cuisses, examina la raideur de mon sexe en érection suite au spectacle qu’elle venait de m’offrir troussée et déculottée, allongée sur mes genoux, avant de me faire signe de me baisser et de m’installer à mon tour sur ses genoux ; hésitant, elle m’attrapa le bras et me fis pivoter d’autorité en travers de ses cuisses celui-ci et je me retrouvais la tête en bas et les fesses à l’air et en l’air sur ses genoux où elle entreprit immédiatement de me fesser … mais aussi en mêlant les claques énergiques et fermes, attaquant mes fesses tantôt par le haut, tantôt sous un angle où le plat de sa main ne claquait pas de haut en bas, mais en biais ; elle s’arrêtait aussi de temps à autre pour contempler son ouvrage et le commentant, tandis qu’à la fois surpris par cette fessée, je tentais de lui manifester à la fois mon refus, mais aussi ma douleur car elle savait bien claquer un derrière, mais rien n’y faisait et elle reprenait la punition, tandis que je me surpris à la supplier d’arrêter tout en battant des jambes, alors que mon sexe durci par la douleur, mais aussi il faut le reconnaître par le plaisir, battait contre sa cuisse gainée de nylon, sa jupe courte étant remontée à mi-cuisses, elle aussi, lorsqu’elle s’était assise … enfin elle s’arrêta, m’invita à me relever, à me rhabiller et de la fesser comme elle venait de me l’apprendre, avec la menace qu’elle recommencerait si elle n’était pas satisfaite !!!

« il va falloir que je t’apprenne comment fesser une femme ! »


Je me suis donc assis sur la chaise, le derrière brûlant, picotant, douloureux et sans lui laisser le temps, l’ai renversée sans ménagement en travers de mes genoux, lui retroussant sa jupe sous laquelle ses fesses m’attendaient nues et lui ai administrée à mon tour une magistrale fessée, claquante et cuisante, qui lui fit battre des jambes, tandis qu’elle cherchait désespérément à se protéger les rondeurs d’une main que je rabattis dans son dos, appuyant fermement chaque claque dont le bruit crépitait dans le studio et par un coup d’œil indiscret, vis que la « belle » semblait apprécier cette fessée, une rosée de plaisir étant apparue sur sa toison brune ; je la fessais avec tant d’énergie que j’en avais mal à la paume de ma main …L’après-midi se termina autour d’un café qu’elle prit assise du bout des fesses sur le canapé, les fesses directement à même le tissu des coussins, avant qu’elle retrouve et remette sa culotte avant de me demander de la raccompagner à la gare et surtout de fixer une date pour un prochain rendez-vous.

"enfin elle demanda grâce".

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