jeudi 3 septembre 2009

-40- La fessée judiciaire (Judicial Spanking)



Le caning judiciaire à Singapour est une institution..


Dans l'imaginaire des personnes qui s'intéressent à la fessée, la fessée judiciaire est associée avec l'état de Singapour. La bas pour de nombreuses peines, les sanctions judiciaires peuvent s'accompagner de châtiments corporels administrés avec la terrible canne en bambou. Le dispositif de maintien des punis (exclusivement des hommes) est impressionnant et indispensable pour maintenir les coupables en position.



La fessée judiciaire et plus généralement les châtiments corporels ont largement été employés par le passé dans le monde judiciaire. Depuis maintenant plus d'un siècle, la liste des pays qui les utilisent encore s'est réduite de beaucoup mais paradoxalement de nombreux pays, même parmi les plus démocratiques et les plus "civilisés" n'ont gardé de cette pratique que le pire d'entre eux, la peine capitale


La fessée judiciaire se caractérise par l'utilisation d'un dispositif de maintien du coupable




Une fois en position, la coupable perd tot contrôle de la situation



Attente et anticipation....




Cette rubrique n'a pas pour but de faire l'apologie de telles méthodes de punition notamment pour toutes celles qui mettent en péril l'intégrité physiques des condamnés. Cependant il est difficile de ne pas traiter cet aspect de la fessée même si elle est très éloignée de la fessée conjugale. Beaucoup plus que l'intensité de la punition, son côté officiel et l'utilisation courante des systèmes de maintien qui empêchent toute résistance du puni, c'est la philosophie même de telles punitions qui est totalement différente. Dans le cas de la punition conjugale (comme d'ailleurs dans la punition parentale), la punition se déroule dans un contexte d'amour alors que la punition judiciaire (tout comme la punition scolaire) le contexte est purement punitif.
La fessée judiciaire présente deux aspects assez distincts…

La fessée policière.

C'est en fait le plus souvent une fessée non officielle administrée lors de l'arrestation du coupable ou de la constatation du délit. Dans la plupart des cas, cette punition est administrée sur le champ et souvent en présence des personnes lésées pour le ou la coupable. C'est en fait une peine de substitution qui évite une action judiciaire classique pour les petits délits. Cette punition a la particularité d'être administrée d'un commun accord entre les victimes, les autorités de police et les coupables. Ces derniers "préfèrent" généralement cette solution souvent infâmante et généralement quand même assez douloureuse à une action judiciaire classique très officielle

Les coupables "préfèrent" une solution rapide....












Même si parfois la punition réservée est dure à encaisser...



A l'âge adulte c'est encore plus humilant..






La fessée militaire
Dans le cadre de l'armée la discipline est souvent très stricte. De nombreuses fautes réglementaires se règlent par l'administration de châtiments corporels qui sont à mi-chemin entre les punitions scolaires et les punitions judiciaires. S'adressant souvent à des hommes, mais aussi à des femmes, dans la force de l'âge ces punitions sont généralement sévères et marquantes.




Le personnel féminin de l'armée n'est pas à l'abri d'un châtiment corporel







La fessée judiciaire

La fessée judiciaire. est officiellement administrée dans le cadre d'une procédure judiciaire et peut accompagner une autre peine. ce sont généralement des punitions sévères qui sont infligées à des personnes responsables pénalement. elle se caractérise généralement (mais ce n'est pas une obligation) par l'utilisation d'une structure de maintien qui empêche le coupable de gesticuler et permet aux autorités judiciaires d'administrer la punition jusqu'à son terme en toute sécurité. Les dispositifs de maintien sont de plusieurs types, il en existe certainement autant que de salle de punition; cependant on peu les regrouper en 4 grands types :
- Les 'caning bench". ce sont des dispositifs imposant dérivés des dispositifs de maintien utilisés à Singapour pour administrer les caning judiciaires. Dans ces dispositifs généralement articulé, les puni(e)s sont plus ou moins penchés en avant voir courbée en deux. Les liens peuvent être plus ou moins importants mais généralement les pieds et les mains sont entravés.





Ce sont généralement des punitions sévères.....



Une variante de ce dispositif est le pilori, hérité des temps médiévaux où le ou la coupable est penché en avant , la tête et es mains dépassant d'une planche mobile les entravant.




La punition peut être administrée en plein air et devant un public plus ou moins nombreux


- Les échelles à fessées.
Les dispositifs verticaux. ce sont en fait des sortes d'échelles placées généralement contre un mur. Les coupables sont maintenus en position debout et attachés à l'échelle




- Les chevalets
De forme diverses ce sont des dispositifs formant une sorte de A majuscules sur lesquels viennent se pencher les punis. On peut ainsi leur attacher les mains et les bras sur le devant du dispositif, les pieds et les jambes sur l'arrière, une sangle autour de la taille pouvant compléter le dispositif. Le puni se retrouve alors fesses en l'air et tête en bas, présentant ainsi ses cuisses et ses fesses à la punition.

Ce sont des dispositifs très courants pour toute les formes de punition

Le chevalet permet d'administrer différentes punitions








Les verges sont toujours utilisées



- Les "blocs à fessées" (fate de nom plus adapté) sont des chevalets d'un type un peu particuliers. Il ressembent plus à des sortes de cube sur lesquels sont solidement attachés les punis.

Ces dispositifs de maintien ont été largement utilisés par le passé




- Les tables à fessées

Ce sont des dispositifs horizontaux ressemblant à des tables de formes variés généralement rectangulaires mais pouvant former une croix. Les puni'e)s sont allongés sur la table de punition, pied et mains attachés. Généralement des coussins,sont placés sous le bassin de façon a surélever légèrement les fesses


Les fesses sont généralement légèrement surélevées





Si la position apparaît comme plus confortable, les punitions sont tout aussi sévères...







Les fessées judiciaires sont généralement des fessées très sévères..on en sort pas indemnes, les fesses sont généralement marquées pour plusieurs jours. Adaptées aux fautes à punir mais aussi à la personne qui est châtier,ces punitions vont généralement au-delà de la résistance des coupables. Quand la punition se termine c'est une personne généralement en larme et totalement déconfite qui sort de la salle de punition….la rédemption est à ce prix


Quelques heures après les marques sont toujours bien visibles
5 heures après un strapping et un paddling

6 heures après un strapping


1 heure après un canin




1 commentaire:

  1. Ce sont des fessées extrêmement sévères, difficiles à supporter sans pleurer ! Les fesses seront marquées pour plusieurs semaines à mon avis ! mais plutôt que d'aller en prison, si on a le courage, on peut choisir cette punition très cuisante. Moi il m'est arrivé de recevoir étant ado, 25 coups de paddle sur mes fesses déculottées, j'ai pas honte de dire que j'ai pleuré et ai supplié mon père d'arrêter. Par endroits, il y avait des traces de sang. Je n'ai jamais récidivé mes bêtises!...J'ai eu 2 garçons, mais les quelques fessées qu'ils ont reçu ce n'était rien en comparaison de ces images...Il vaut mieux essayer le dialogue avant d'arriver à la vraie fessée! Mais cette correction pour un meurtrier, pourquoi pas;il faut quand même soigner les plaies après.

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