J’ai moi-même aussi un peu plus de 50 ans (53 exactement début 2010) et depuis bientôt plus de trente ans je suis aussi un adepte de la fessée dite conjugale, élargie aux fessiers de copines, secrétaires et amatrices de ce châtiment corporel à la fois claquant et cuisant…
Ma seule expérience que j’avais eu avec cette « punition particulière » avait été à l’âge de 14/15 ans et mes fesses en avait fait la cuisante et brûlante expérience, car je l’avais reçue de la main vigoureuse et vengeresse d’une voisine, mais je pourrai vous en parler plus tard …
Ma première expérience de la fessée donnée fut avec une camarade de classe terminale, Catherine, un mercredi après-midi dans le laboratoire de langues isolé sous les combles au dernier étage, auquel nous avions librement accès, la seule contrainte étant d’en percevoir et bien sûr rendre la clef auprès de la conciergerie de l’établissement.
A part les internes, nous étions peu nombreux à l’utiliser les mercredis après-midi. C’était la fin des années 70 et bien que presque tous et toutes majeurs, la tenue de mes camarades féminines était plutôt classique à cette époque : cheveux longs avec queue de cheval ou serre-tête, chemisier clair et pull ou gilet bleu, jupe plissée, collants foncés et chaussures à petits talons ; tenue que portait ce jour là une camarade prénommée Catherine et qui m’avait demandé de l’aider au laboratoire, en anglais, langue avec laquelle elle avait quelques difficultés.
Après une bonne heure studieuse, Catherine commença à devenir taquine et m’annonça l’idée de me « pousser à bout » (moi qui ne m’énervait jamais) pour me tester, voir mes réactions et à force d’insister, elle arriva à ses fins et quand je lui annonça que si elle continuait, j’allais certainement me « venger », elle s’enfuyait sans oublier de verrouiller derrière elle la porte du labo de langues, dans lequel elle me laissa de longues heures (trois facilement). N’ayant pris que mes cours d’anglais, j’enrageais devant le temps perdu, alors que si j’avais pris d’autres cours, j’aurais pu faire d’autres travaux, au lieu d’attendre sans trop de patience et beaucoup de colère contenue que le temps passe !!!
Enfin, en fin d’après-midi, j’entendis la clef tourner dans la serrure, vis la porte s’ouvrir et apparaître une Catherine, toute souriante du mauvais tour qu’elle m’avait joué, non plus vêtue de façon classique, du style jeune fille de bonne famille, mais avec un pull, un kilt assez court, des collants opaques et des escarpins. Toujours en me narguant, elle m’annonça qu’elle était sortie en ville et prise de remords (ce que je ne croyais pas du tout) qu’elle était revenue me libérer. Je lui annonçais qu’elle avait bien de la chance d’être une fille, plutôt une « sale gamine de 18/19 ans » et que si elle n’était pas une « fille » je ne sais pas comment je réagirais et qu’heureusement que j’avais des principes, entre autre, qu’une « fille » ça ne se battait pas … et toujours en souriant et avec ironie, elle affirma bien sûr qu’une « fille » ça ne se battait pas, mais que ça pouvait être fessée … une fessée … et que si je voulais me venger, je n’avais qu’à la fesser comme une « sale gamine » … une fessée … la fessée … la seule expérience, la fessée pour Catherine … je trouvais cela à la fois amusant et un peu excitant, mais je lui avouais n’avoir jamais fessé personne, encore moins une personne de mon âge et de sexe opposé … tout naturellement avec un sourire de plus en plus coquin, elle m’avoua bien vouloir tester l’expérience avec elle, moi comme « maître » et elle comme « élève » … après tout pourquoi pas … et c’est ainsi qu’après avoir ouvert la porte du labo et écoutait qu’aucun bruit ne filtrait dans le bâtiment désert que nous seuls occupions, elle revint dans la pièce, verrouilla à nouveau la pièce derrière elle, mais cette fois elle était avec moi, elle éteint la lumière, prit une chaise qu’elle installa dans un coin de la pièce éloigné des fenêtres, m’invita à m’y assoir et me donna ses recommandations, m’invitant à ne pas tenir compte de ses cris, menaces, suppliques, battements de jambes et ruades, mais que lorsqu’elle annoncerait qu’elle promettait de ne plus le faire et d’être désormais sage de fesser immédiatement la fessée ; en fait elle acceptait la punition, la réclamait même, mais en fixait les règles … pourquoi pas … j’acceptais ; alors elle s’installa à plat ventre en travers de mes genoux, se tenant des deux mains à une de mes jambes d’un côté et jambes fléchies, légèrement repliées de l’autre, sa jupe déjà courte, remontant assez haut sur ses cuisses, le derrière à portée de ma main … elle m’invita à la tenir par la taille de ma main restée libre, afin que ne glisse pas et ne tombe pas, mais aussi pour l’empêcher de se relever et de s’échapper et de mon autre main de lui claquer alternativement une fesse puis l’autre, aussi longtemps et fermement que je le souhaitais, jusqu’à ce qu’elle prononce les mots magiques, les mots « code » … après tout la tentation était trop forte, je cédais et la paume de ma main s’abattit rapidement sur le fond du kilt sur une fesse, puis l’autre, à plusieurs reprises … Catherine se mit à rire et me demanda si j’appelais cela une fessée car cela ne lui faisait pas de mal du tout … vexé, intimidé, je lui annonçais qu’elle serait beaucoup moins « fière » si j’avais l’audace, le courage de lui retrousser sa jupe jusqu’à la taille … elle ne me répondit qu’un seul mot : « chiche !!! » et j’osais … la paume de ma main quitta le fond de son kilt par-dessus lequel elle reposait sur sa fesse droite, glissait à mi-cuisses sur ses jambes gainées de nylon, remontait le long des cuisses et glissait sous la courte jupe jusqu’au bas de ses fesses et je remontais le tout jusqu’à sa taille, le tissus écossais rabattu sur son dos, puis redescendait jusqu’aux fesses que je frôlais et que je trouvais, à travers le nylon, fermes, chaudes et tremblantes ; malgré l’opacité du collant, je devinais une ravissante « petite culotte » blanche ; Catherine coupa court et me demanda de la fesser fermement, régulièrement, en m’appliquant et je m’exécutais … le bruit que fit la première gifle sur le derrière tendu recouvert de nylon me surpris, puis le second sur l’autre fesse et je me pris au jeu tout en tenant fermement Catherine par la taille à lui claquer une fesse, puis l’autre, tandis qu’entre chaque gifle, je la voyais serrer les fesses tout en les tendant vers moi et poussant un petit cri à chaque fois que ma main s’abattait sur ses rondeurs que je me mis à fesser, en passer de l’une à l’autre, avec entrain et fermeté, tandis qu’à chaque impact elle se tendait comme un arc … au bout de longues minutes, Catherine lâcha le pied de la chaise auquel elle se tenait et chercha de ses deux mains à protéger ses fesses qui même si elles n’étaient ni trop larges, ni trop rondes, mais si fermes, elle ne parvint pas, les mains des filles et des femmes étant toujours trop petites pour protéger leurs fesses au cours d’une fessée … et pour mieux la maintenir, je lui lâchais la taille, lui saisissais les deux poignets que je lui rabattais dans le dos et continuais à la fesser beaucoup plus rapidement et fermement … c’est ainsi que je m’aperçus que ses fesses, si fermes jusqu’à présents commençaient à devenir plus tendres, qu’elles ne se contractaient plus entre chaque claque et que devant le rythme soutenu de la fessée, d’une fesse à l’autre, sans arrêt, Catherine se débattait de plus en plus tout en battant énergiquement l’air de ses deux jambes, elle en perdit même un escarpin … cela faisait de longues minutes que je la fessais lorsque je l’entendis m’appeler et promettre d’être plus sage à l’avenir … je respectais … presque à regret la règle établie au départ … mais je cessais immédiatement … Catherine se détendit, pliée en travers de mes genoux et je relâchais ses poignets … elle en profita pour se masser à deux mains les fesses faisant des commentaires sur sa fessée et moi-même, affirmant qu’elle ne pensait pas jusqu’à maintenant qu’un garçon si « gentil, si poupon », pouvait avoir autant de poigne … et il est vrai que vu le spectacle qu’elle m’offrait toujours allongée en travers de mes genoux, spectacle que j’admirais dès la première minute de la fessée jupe retroussée, je constatais que malgré l’opacité du collant, ses fesses étaient bien rouge, même à travers le blanc de sa petite culotte !!!
Enfin Catherine se releva et rechaussant son escarpin, vint s’assoir sur mes genoux et posa sa tête contre mon épaule comme pour se faire pardonner ; elle me chuchota à l’oreille que généralement c’était sa mère qui la fessait encore même à 18 ans en cas de mauvais résultats scolaire au reçu du bulletin de notes et que généralement elle la fessait jupe retroussée et déculottée … il était tant d’aller dîner au réfectoire et pendant le repas, alors que nous étions face à face, je remarquais que lorsque Catherine bougeait sur le tabouret où elle était assise, elle grimaçait !!!
Sylvie avait le chic elle aussi pour me « pousser à bout »......
Ce fut ma première expérience de fesseur que quelques années plus tard, je renouvelais de bon cœur sur le derrière de celle avec qui je sortais ; Sylvie avait le chic elle aussi pour me « pousser à bout » et changer de conversation lorsqu’elle sentait la tension montait … de même, au téléphone, elle prenait malin plaisir à me raccrocher au nez … jusqu’au jour où elle ne vit pas arriver sur son derrière la fessée secrète que je conspirais !!! provocatrice, elle annonça que je l’aimais trop pour la fesser et qu’elle avait largement dépassé l’âge (24 ans à l’époque) et je lui annonçais que c’était ce qu’elle allait voir ou plutôt sentir ; je joignais le geste à la parole, la saisissant par un bras, je l’entraînais vers une chaise où après m’y être assis tout en la maintenant d’un bras, je la saisissais par la taille et à sa grande surprise la renversais à plat ventre en travers mes cuisses, tête et jambes en bas des deux côtés, derrière bien en l’air au milieu, toujours sans lui laisser le temps de réagir, d’un geste rapide je lui retroussais sa jupe, assez étroite, avec difficulté au niveau des hanches, mais une fois son derrière bien en évidence (à l’époque Sylvie avait une taille de 36 pour des hanches de taille 40), peu protégé par une ravissante culotte de marque Lou et couleur pastel, le tout confinait dans un collant couleur chair, la maintenant fermement à la taille, je la fessais longuement, tout en prenant mon temps entre chaque gifle d’une fesse à l’autre, tandis qu’elle me traitait de tout les noms entrecoupés de « aïe … ouille », battant des jambes, le derrière tressautant sous les claques, de plus en plus rapidement au rythme soutenu de la fessée, se faisant lui aussi de moins en moins ferme sous l’impact des gifles … quand Sylvie cessa de se débattre et s’affala sur mes cuisses tout en tendant ses fesses sous les gifles, je jugeais qu’il était temps d’arrêter la fessée et vu la chaleur de la paume de ma main, son derrière devait être brûlant … Sylvie se releva, malaxant ses fesses des deux mains tout en gardant sa jupe retroussée, les fesses écarlates à travers le collant, les joues pourpres et les yeux embués avant de s’enfuir vers la salle de bain pour se refaire une beauté et remettre de l’ordre dans sa toilette !!!
La fessée « conjugale » devint un jeu entre nous.....
Par la suite, la fessée « conjugale » devint un jeu entre nous à la moindre faute, au moindre caprice et une fois par semaine Sylvie, après avoir fermé les volets ou rideaux de la pièce où nous nous trouvions, se retrouvait sur mes genoux, jupe retroussée sur ses collants pour une bonne fessée ou pantalon baissé sur sa « petite culotte » !!!
Pourtant un été, nous nous disputâmes plus sérieusement et lorsque nous arrivâmes à l’appartement de ses parents, absents à ce moment là, heureusement pour moi et dommage pour elle ; je lui annonçais qu’il avait trop longtemps qu’elle n’avait pas reçu une bonne fessée (plusieurs semaines en fait) et les yeux dans les yeux elle affirma que mes fessées ne l’impressionnait pas du tout ; je lui annonçais que j’allais changer les règles de suite et avisant le canapé, m’y installa et lui ordonna de venir s’installer sur mes genoux, ce qu’elle fit sans discuter ; une fois en place, je lui retroussais sa robe d’été, mais cette fois passais ma main sous l’élastique de sa culotte et la déculottais généreusement jusqu’à mi-cuisses ; cette fois cela était sérieux, ma chère et tendre allait connaître la fessée jupe retroussée et déculottée, « cul nu » comme une salle gamine ; une fois en position et en tenue, le derrière à l’air et bien exposé sous mes yeux, elle ne fit aucun geste pour se dérober et un seul commentaire, un « oh !!! », je ne sais s’il était d’étonnement, de honte ou de joie … et la fessée crépita dans la salle à manger, en cet été de juillet 1980, alors que les volets étaient fermés, mais la fenêtre ouverte, le tout au premier étage d’un immeuble donnant sur la rue principale ; les claques crépitaient encore plus vite et plus fort sur les fesses nues qui dès le début se contractèrent fermement pour au bout de longues minutes devenir moins fermes et tressauter dans tous les sens, battant toujours des jambes, mais la tête enfuie dans les coussins du canapé que Sylvie par orgueil féminin devait mordre à pleine dents pour contenir la douleur d’un derrière de plus en plus rouge et douloureux !!! … car lorsqu’enfin je décidais de cesser la fessée, je vis le derrière qui jusqu’à présent rougissait, devenir écarlate et posant la main je le sentais brûlant !!! Sylvie resta ainsi de longues minutes les fesses à l’air dans la chaleur et la moiteur de la pièce avant de se redresser, quitter le canapé les jambes entravées dans sa culotte tombée aux chevilles et se jetant à mes genoux, tâtant la « bosse » dans mon pantalon, m’annonça :
« et bien, cela t’excite de fesser les grandes filles ! » avant d’entreprendre une fellation endiablée qui se termina par une levrette sur le bord du canapé où cette fois après avoir mordu de douleur les coussins, Sylvie les mordit de plaisir, le derrière toujours rouge et chaud !!!
Quelques jours plus tard, Sylvie m’avoua que si la fessée jupe retroussée et culotte baissée était humiliante, elle était beaucoup moins douloureuse et cuisante que jupe retroussée par-dessus les collants ; elle m’expliqua sa thèse car elle avait constaté qu’avec les collants, même si les fesses sous l’intensité de la fessée essayaient de se détendre et de se ramollir car au fur et à mesure des claques, de la douleur et du plaisir, le derrière se décontractait et la « punie » n’arrivait plus à le contrôler et le contracter, il restait ferme sous le nylon des collants, mais de plus en plus douloureux et la fessée devenait plus une correction qu’une fessée !!!
Pendant les années qui suivirent quand je voulais m’amuser, je la troussais et la déculottais ; rapidement Sylvie abandonna dans ses moments, ses après-midis punitives, les collants pour adopter des bas, les bas permettant un déculottage plus rapide et efficace pour mieux battre des jambes !!! mais quand je voulais vraiment la punir, je ne baissais pas ses collants et malgré ses suppliques, je la fessais ainsi jupe retroussée par-dessus les collants !!!
Une fois, je dus la fesser sérieusement, une véritable bonne fessée....
Une fois, je dus la fesser sérieusement, une véritable bonne fessée, celle qui compte dans la vie d’une jeune épouse capricieuse et étourdie et lui met du plomb dans la tête, lui fixe une bonne fois pour toute les limites à ne pas dépasser. Sylvie avait tout simplement fait ce jour là un chèque sans provision et prétendit qu’elle ne s’en était pas aperçue et comme de toute façon j’étais présent au moment de la signature du chèque, je n’avais à ses dires rien fait pour l’en empêcher ; non seulement elle mentait et en plus me faisait porter le chapeau ; cela en était trop et il était grand temps qu’elle sache et découvre à presque 30 ans ce qu’était une vraie bonne fessée et pas une fessée érotique, une vraie bonne fessée qui lui rougirait le fessier entièrement, lui enflammerait au point que le moindre contact du tissu de sa culotte et de sa jupe lui rappelle par une brûlure longue et pénétrante ;
J’avais découvert l’histoire du chèque un vendredi soir et lui affirma qu’avant la fin du week-end, elle allait regretter ses caprices, ses étourderies et surtout d’avoir une bonne paire de fesses rondes !!!
La matinée et l’après-midi se déroulèrent normalement, mais plus le temps passait plus Sylvie paraissait à la fois nerveuse et inquiète ; en début de soirée, elle me demanda de conclure, de ne point pouvoir attendre jusqu’au dimanche soir ; j’acceptais et lui précisait quelques détails ; je lui ordonnais d’aller se changer dans notre chambre et d’en revenir vêtue d’une ravissante robe noire qu’elle portait lors de soirée, sous laquelle elle ne porterait qu’un collant clair, chair, gris ou blanc de son choix et aucune culotte sous ce collant ce qui me permettrait de bien la fesser et de contrôler l’évolution des rougeurs et sachant qu’elle n’appréciait pas du tout d’être fessée par-dessus des collants, ce type de fessée étant encore plus claquant et cuisant qu’une bonne fessée « cul nu » !!! elle avait dix minutes pour se préparer et me rejoindre au salon ; passé ce délais, je viendrais la chercher si elle ne venait pas et je quittais la chambre ;
Je m’installais dans le salon, assis au milieu du canapé où j’avais décidé de m’installer pour la fesser car la fessée devant être longue, autant profiter de bonnes conditions de confort, autant pour elle que pour moi ; au bout de moins de dix minutes, Sylvie me rejoignait dans le salon, vêtue de la robe noire lui descendant sous les genoux, les jambes gainées d’un collant nylon gris clair, sans chaussures, en pied de collants … se dirigea vers la fenêtre pour en tirer les doubles rideaux … alluma une lampe d’ambiance et retourna vers la porte où sagement, les mains croisées dans le dos elle attendit « sagement » !!! je lui demandais de s’approcher du canapé, de retrousser sa robe jusqu’à la taille avant de s’allonger en travers de mes genoux … elle s’approcha … s’agenouilla sur le bord du canapé, sur mon côté droit … saisit le bas de sa robe à deux mains pour la retrousser le long de ses cuisses, jusqu’au dessus des hanches … avant de se pencher et de se coucher sur mes genoux … je remarquais qu’elle avait même eu le goût d’enfiler un collant sans démarcation … je lui enserrais la taille … je vis ses fesses se contracter … se serrer sius le collant … sans perdre de temps commençais à la fesser … intensément … longuement … sérieusement … sans faiblir … de longues minutes … sans perdre de vue la paire de fesses que j’avais sous les yeux, changeant de couleur sous les claques … passant du chair clair au rose clair … où ma main s’imprégnait de ses cinq doigts au fur et à mesure … puis du rose au rouge … puis du rouge clair au rouge foncé …observant mon « ouvrage » … plus le temps passait, plus les fesses tressautaient sous les claques … Sylvie avait le visage plongé dans les coussins et tenait des deux mains l’accoudoir du canapé … les claques continuaient à tomber, à crépiter… pas un cri … pas un mot … pas un battement de jambes … je ne mesurais pas le temps, ni le comptais … quand la paume de ma main devint brulante et douloureuse, je décidais de m’arrêter, aussi brusquement que j’avais commencé … Sylvie se releva … les yeux embués de larmes … se releva et quitta le salon, se frottant le derrière des deux mains par-dessus la robe… retourna dans la chambre d’où elle revint quelques minutes plus tard et remontant sa robe sur ses hanches, me tendit ses fesses écarlates et brûlantes même à travers le collant, car pour m’en assurer je posais la paume d’une main sur une fesse et à travers le collant fus surpris du rayonnement de chaleur … elle m’annonça qu’elle se vengerait … demanderait des dommages et intérêts …
Elle m'annonça qu'elle se vengerait....
Ce récit est fort sympathique. J'adore donner la fessée à ma chère et tendre qui porte ses collants sans culotte. C'est un véritable régal. Malheureusement, cela m'arrive que trop rarement.
RépondreSupprimerEn attendant d'autres récits fessée et collants, merci à Alain.
Jacques