mercredi 7 octobre 2009

46- Les récits des lecteurs - Bien au delà des fessées....


Voici le récit de N.
Un univers riche en émotions que je vous convie à retrouver sur son blog : http://n-toutsimplement.blogspot.com/


Depuis quelques temps nous nous éclatons lors de jeux de domination soumission.

C’est vrai que mon Maître et mari parvient à m’amener à des sommets de jouissance lors de ces séances. Jamais je n’aurais imaginée qu’une série de fessées pouvaient me mettre dans des états aussi réceptifs et propices à la jouissance. Toutefois ce ne sera pas une histoire de fessées que je vais vous relater mais de figging.

Jamais je n’aurais imaginée qu’une série de fessées
pouvaient me mettre dans des états aussi réceptifs
et propices à la jouissance...


La soirée avait pourtant commencée par quelques fessées au bambou. Quelques bonnes bien appuyées sur mes fesses et surtout une série d’une centaine avec un bambou vert et donc très souple sur tout le corps pendant que je le suçais à genoux. J’étais dans un état indescriptible et savais à peine encore comment je m’appelais. Rien que sous les coups et en le suçant, j’ai réussi à jouir avant qu’il n’y arrive lui-même. Il faut dire que depuis nos jeux de soumission il m’a mise à rude épreuve en me forçant à jouir dans toutes les situations. Ces situations, mon imagination et le fait de lui faire plaisir ont levés tous les obstacles et c’est bien rare que je n’arrive pas à l’orgasme quand il me le demande, sous les coups, en le suçant en me prenant par derrière ou même au restaurant.

Mais pour en revenir à notre soirée, après avoir eu un bel orgasme, il m’a fait mettre debout et m’a demandé de m’introduire deux beaux gingembres, devant et derrière.

Debout, immobile à sa demande, avec mes gingembres en moi, je devenais folle. D’autant plus qu’il m’a interdit de le toucher, de me caresser ou de gesticuler sous peine de nouvelles fessées. Comme je venais d’en prendre énormément et avait toute la peu sensible, j’ai tenté de me tenir à carreau. Me voyant malgré tout gesticuler après cinq six minutes, il m’a fessée en me disant qu’il n’arrêterait de me fesser qu’une fois que j’ai joui. Comme il frappait bien plus fort que d’habitude je n’arrivais pas à me concentrer. Aussi il a bien voulu que je me caresse afin d’y arriver, chose qu’habituellement il me refuse systématiquement. L’orgasme que j’ai eu fut d’une violence rare, à la hauteur de la violence des coups reçu et des marques toujours bien visibles.


N ;

1 commentaire:

  1. Vous supportez le gingembre ?
    Je pensais qu'il ne s'agissait que d'un fantasme.
    Louis

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