dimanche 28 mars 2010

52 - Les récits des lecteurs : La fessée de Nadine



Il faut que vous sachiez que depuis plus de trente ans, je garde des contacts avec une camarade de classe de collège (nous nous connaissons depuis la classe de quatrième) et que cette dernière, Nadine pour la nommer, s’est toujours amusée depuis le temps à jouer de ma patience en arrivant en retard à des rendez-vous, voir à oublier ces rendez-vous.

Les hasards de la vie ont fait que j’ai du travailler quelques années en « abandonnant » ma famille en province, mais en la retrouvant les week-ends, mais aussi de pouvoir retrouver Nadine, sur place, notre camaraderie de classe, d’adolescence s’étant au fil des années, malgré la séparation géographique, transformée en amitié longue et durable.
Les hasards de la vie ont fait que nous nous sommes tous deux mariés de notre côté à une année d’intervalle, mais que Nadine n’a pas eu beaucoup de chance, puisqu’il y a quelques années de cela, elle a divorcé d’un mari volage …
Nous avons donc profiter de mon séjour parisien pour renforcer nos liens et aussi profiter de cette amitié pour l’aider dans ses malheurs. Il faut dire que Nadine et moi, nous nous adorons, voir nous aimons plus que frère et sœur, mais moins que mari et femme … sans désirer l’autre !!!
Nous avons pris l’habitude de nous téléphoner une fois par semaine et de nous retrouver de temps en temps, soit dans un restaurant, soit pour une sortie cinéma ou théâtre, sortie auxquelles bien sûr, Nadine arrivait toujours en retard, mais n’oubliait quand même jamais. Lors de l’une de nos conversations téléphoniques, alors que je lui reprochais ses retards et tous les tours pendables de notre jeunesse qu’elle avait pu me jouer, elle m’avoua que son rêve était de me pousser à bout pour connaître les limites à ne plus dépasser, tout en voulant connaître ce qu’elle risquait à ce jeu. Je lui demandais si elle aurait le cran de me répéter tout ceci les yeux dans les yeux et que si vraiment elle réussissait à me « pousser à bout », ce qu’elle risquait au pire, c’était de recevoir une bonne fessée, fessée méritée depuis pas mal d’années et qu’en y réfléchissant, c’était plus l’occasion qui m’avait manqué que l’envie de la lui donner … ce à quoi elle me répondit par des éclats de rire !!! En fin de conversation nous convînmes d’une soirée restaurant pour la semaine et je l’invitais à être à l’heure, sous peine de fessée en cas de retard et l’invitais à porter des collants noirs ou opaques, car au moins en cas de fessée jupe retroussée, son honneur serait sauf car je ne verrai pas ses dessous …
Ma semaine suivante, nous nous retrouvâmes à l’heure, ce qui était exceptionnel, devant le restaurant convenu où elle arriva en m’annonçant que pour une fois elle était à l’heure car elle avait eu peur de la fesséz et tout cela bien sûr le sourire aux lèvres … en la regardant, je remarquais que pour cette soirée, elle avait revêtue une robe assez ample et qu’elle portait dessous des collants très opaques ; avait-elle prévu d’être en retard ??? La soirée fut comme toujours formidable et comme elle m’avait rejoint dans Paris par les transports en commun, nous convînmes qu’il était hors de question qu’elle rejoigne son domicile à cette heure si tardive par le métro, puis le train et comme presque à chaque fois, je la raccompagnais chez elle.
En arrivant à son domicile, elle me demanda de l’y accompagner car elle avait quelques cadeaux pour mes enfants. Une fois dans le salon, elle me remit les cadeaux et s’approchant de moi avec son sourire d’ingénue, me demanda que si elle avait vraiment été en retard, est-ce que j’aurais osé lui donner la fessée méritée ? Ce à quoi, je lui répondis que cette fessée, en fait était en sursis pour notre prochaine rencontre, mais que vu sa tenue, elle avait tenu compte de mes conseils et qu’elle avait certainement pensé être en retard et la mériter, sinon elle ne serait pas venu en portant des collants noirs … elle enchérit sur le fait qu’elle était déçue et que tout compte fait, elle doutait vraiment de cette fessée. Les yeux dans les yeux, elle me mit au défit de la lui donner et me tenta par un seul mot : « chiche… ». J’étais pris à mon propre piège, mais tout compte fait c’était trop tentant après toutes ces années de provocations.

J’étais pris à mon propre piège


A mon tour, les yeux dans les yeux, je lui annonçais que j’allais la fesser comme non seulement elle le méritait, mais aussi comme elle semblait le chercher et qu’avant de commencer, nous allions convenir tous deux d’un « mot code » pour arrêter la fessée quand elle serait trop insupportable, trop douloureuse pour ses rondeurs, car je voulais la punir et non la faire souffrir. Ensemble nous décidâmes que lorsqu’elle prononcerait « pouce, je ne joue plus » que j’arrêterai de la fesser. Nadine décida donc du lieu et du moment et quelques minutes plus tard, je me retrouvais au milieu de sa salle à manger, assis sur une chaise, Nadine allongée en travers de mes genoux, jambes tendues d’un côté et se tenant aux pieds de la chaise de l’autre côté. Je lui rappelais, une fois en position, qu’il avait été convenu entre nous deux que la fessée serait donnée et reçue jupe ou robe retroussée, une fessée classique. Nadine acquiesça … il fallait donc le faire … et je le fis, retroussant sans aucun mal la robe évasée, découvrant tout d’abord ses cuisses et au fur et à mesure que le tissu remontait, j’eus la surprise de m’apercevoir qu’elle ne portait pas de collant, mais des bas lycra très opaque, maintenus par un porte jarretelles noir et qu’elle portait une culotte de dentelle noire qui tout en préservant sa pudeur, laissait deviner à travers la dentelle ajourée, la peau pâle de ses fesses, ni trop minces, ni trop potelées. Rabattant la robe sur sa taille, je lui demandais si elle était toujours et d’accord et prête … l’atmosphère étant soudain lourde dans la pièce … sans un mot, elle hocha la tête affirmativement, croisa les jambes au niveau de ses chevilles en faisant crisser ses bas, tendit son derrière vers moi tout en le contractant … je lui enserrai la taille du bras gauche, non pas pour une fois avec la crainte qu’elle ne s’échappe, mais pour lui éviter de glisser et de tomber, surtout si elle venait à se débattre sous les claques.
Je me pris au jeu et les claques commencèrent à crépiter sur ses fesses, timidement au début et de plus en plus fermement et rythmées, Nadine encaissant sans un commentaire, sans un cri, sans même se débattre ou battre des jambes, ses fesses se dodelinant et tressautant sous chaque claque.

Combien de temps dura cette fessée ? je n’en sais rien car je n’avais pas mis mon chrono en route et de toute façon je regardais les fesses magnifiques que j’avais sous les yeux et je ne comptais pas les claques … Nadine non plus … au bout d’un temps très long, comme presque à chaque fois que j’ai fessé épouse, secrétaire, collègue ou copine, je remarquais que les fesses devenaient moins fermes, tressautant plus rapidement et amplement sous chaque claque et une petite voix annonça : « pouce, pouce, je ne joue plus !!! »

Comme convenu, je m’arrêtais et le temps qu’elle se relève, je pus constater, le rouge tranchant sur le noir des dessous et des bas, que les fesses de Nadine avaient une belle couleur … quant à la chaleur, j’avoue qu’une fois la fessée terminée, je ne les ai pas touchées comme je le fais à l’accoutumée avec d’autres ; Nadine se releva, remis de l’ordre dans sa tenue, défroissa sa jupe,, lissa ses bas et me surpris en venant s’assoir sur mes genoux, chose qu’elle n’avait jamais fait et que je n’avais jamais imaginé ; malgré l’épaisseur de la robe d’hiver et de mon pantalon, je sentis la chaleur de ses fesses tout juste claquées et fessées et provocation supplémentaire, elle m’avoua qu’en s’habillant le matin même, elle avait hésitait entre collant et bas, en choisissant les bas et me demanda mon avis ; je lui répondis qu’à la prochaine fessée, si toutefois celle-ci ne suffisait pas, les bas étaient très pratiques pour lui baisser sa petite culotte et la corriger troussée et déculottée.

« Tu n’oseras quand même pas ???» me demanda-t-elle ; je répondis un seul mot : « chiche ! »

Pendant tout le temps que dura mon séjour parisien, à chaque rendez-vous que ce soit cinéma, restaurant ou autre, Nadine fut toujours à l’heure !!!


« Tu n’oseras quand même pas ???"

croquemitaine@hotmail.fr

jeudi 25 mars 2010

51- Le battoir à tapis (Carpet Beater)

Le battoir à tapis, en usage dans toutes les famille il y a quelques dieaines d'années apparaît mainteant comme un instrument un peu désuet remplacé souvent par l'aspirateur.
Il reste cependant un instrument punitif encore employé notamment dans le cadre familial ou scolaire. Réputé moin sévère que le terrible paddle il ne manque pas d'un certain esthétisme....




Il existe de nonbreux types de battoir à tapis sans compter les battoirs en plastique dont je ne parlerai même pas.
Un battoir à tapis digne de ce nom se doit d'être en rottin ou en osier.
Il peut être constitué d'une seule boucle



Les traces laissées alors s'apparent à celle d'une cane...


Toutes les fesses peuvent recevoir la battoir à tapis

Il peut aussi comporter 2 boucles..
son emploi semble s'être répandu jusqu'au Japon.

Les coups de battoir à tapis sont amples et aériens



Plus généralement c'est un entrelas de rottin dont la taille conséquente permet d'atteindre en une seule fois les é fesses...


Plus le manche est long plus la force est démultipliée et la punition sévère




Certains battoirs atteignent des tailles impressionnantes



Malgré une réputation moins terrible que la cane ou le paddle il n'est jamais attendu avec joie ...




Appliqué avec conviction il peut laisser des traces redoutables



Toute la famille peut y avoir droit...


L'application du battoir ne laisse généralement pas indifférent




Après une "explication" au battoir à tapis quelques minutes de réflexion s'imposent

Il est encore employé dans certaines écoles



Mais reste surtout un instrument familial

que les femmes savent très bien utiliser

vendredi 19 mars 2010

50 - Quand les femmes prenent les choses en main (2)

Cette rubrique fait suite à la rubrique 8- Quand les femmes prennent les choses en mains


Il est vrai que parfois les hommes abusent... Heureusement certaines femmes savent reprendre les choses en man et peuvent être très convainquantes.



Une fessée manuelle même administrée par une "faible" femme peut être des plus cuisantes.

La présence d'une amie est parfois requise. L"amour propre du mari n'en est que plus écorné.




Difficile de garder une contenance dans une telles situation






Les mères de famille mais aussi toutes les épouses aiment bien utiliser la brosse à cheveux en la détournnt de son usage initial. C'est particulièrment efficace.







Cette femme semble particulièrement en colère

D'autres préfèrent employer le paddle
A la mode cow-boy....
Parfois plus qu'un rappel musclé à l'ordre c'est une véritable fessée disicplinaire.
Certaines préfèrent la ceinture
Ou la tawse
Les témoins ne sont pas toujours charitables

Dans les foyers anglo-saxons la cane n'est jamais loin..

Généralement à la fin de l'xplication, le message est bien passé !